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VIP-Blog de happy-halloween
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  • Créé le : 08/10/2007 00:27
    Modifié : 14/12/2023 03:49

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    La légende de Bloody Mary

    21/02/2009 01:01

    La légende de Bloody Mary


    La légende de Bloody Mary

    La légende de Bloody Mary (la Vierge sanglante) veut que lorsqu'on est dans une pièce sombre, devant un miroir éclairé à la chandelle et que l'on prononce "Bloody Mary" treize fois de suite, un visage de femme ensanglanté fasse son apparition dans le miroir pour parfois s'attaquer à ceux qui l'ont appelé.

    Plusieurs façons différentes d'invoquer cette mystérieuse femme semblent d'ailleurs existées. La façon la plus populaire reste quand même la suivante. Enfermez-vous dans une salle de bain munie d'un grand miroir, y éteindre les lumières pour s'y retrouver dans la noirceur complète et allumer deux bougies que l'on placera de chaque côté du miroir. Fixez des yeux le miroir très attentivement, directement vers votre propre réflexion. Débutez ensuite à prononcer à voix très basse et très douce, voire presqu'invitante, le nom de "Bloody Mary" puis commencez à tourner sur vous-même. Tout en continuant de tourner, prononcez le nom de l'esprit de plus en plus fort, presque comme dans un chant, pour que la treizième fois, vous l'imploriez, presqu'en criant. À chaque tour sur vous-même, fixez le miroir en passant. Au treizième tour, votre réflexion sera maintenant celle de la Vierge sanglante.

    A ce que l'on dit, elle est vraiment effrayante; son visage est recouvert de sang et ses mains cherchent à vous prendre. Pour quelques croyants, cette femme ne veut que vous effrayer en bondissant de l'avant, vers vous. D'autres affirment que la Vierge sanglante vous attaque littéralement, vous laissant vous aussi en sang si vous ne réussissez pas à vous enfuir.

    Cette légende a tellement été prise au sérieux qu'en 1978, aux États-Unis, la folkloriste Janet Langlois décida d'écrire un essai sur cette histoire. On l'utilise encore dans certains cours universitaires sur les légendes urbaines en Amérique. Le film d'horreur "CANDYMAN" est d'ailleurs basé sur cet essai.

    Une autre croyance, adaptée pour les plus braves, est celle de provoquer l'apparition de Bloody Mary en ajoutant à son nom la phrase suivante: "Bloody Mary, I killed your baby!" (Vierge sanglante, j'ai tué ton enfant). Cependant, on raconte qu'une telle invocation provoque une attaque immédiate de l'entité. Une attaque sauvage et sans merci. Plusieurs pensent que Bloody Mary est la Vierge Marie en personne venue vous avertir de ne pas jouer avec son nom, ni le nom de son Fils, Jésus.

    D'autres racontent qu'elle serait une sorcière jadis brûlée vive par les habitants de son village pour sorcellerie et que quiconque invoque son nom en vain sera frappée par la malédiction par laquelle elle menaça ceux qui l'ont brûlée. Une minorité disent que c'est l'esprit d'une femme décédée avec son fils dans un accident d'auto quand la voiture s'enflamma, laissant sans vie la mère et le petit. La dame décida de vivre à jamais dans les miroirs, pour se venger de ceux qui ont tué son enfant. Tant d'histoires, laquelle croire ?






    Légende : La banquette arrière

    21/02/2009 01:30

    Légende : La banquette arrière


    La banquette arrière

    C'était une nuit sombre et brumeuse. Denise avait de la difficulté à rester éveillé et la route était trempé. Son niveau d'anxiété n'était pas pour aider car le niveau de la jauge d'essence commençait à être dangereusement bas et elle n'avait aucune idée d'où se trouvait la prochaine ville.

    Finalement juste au moment ou elle allait arrêter la voiture pour la nuit et dormir sur le bord de la route, elle aperçut une petite station d'essence décrépie sur le bord de la route. Elle s'arrête à la station. Le commis fait le tour de la voiture et semble être très distrait pendant qu'elle lui demande de faire le plein, il continue à lui faire de drôle de grimaces et semble très bizarre. Il s'exécute enfin, mais lui demande d'ouvrir le capot, parce qu'il flaire quelques choses de suspect. Son anxiété recommence à grimper car elle se rend compte qu'elle est seule dans une petite station service crasseuse au milieu de nul part et que le commis trouve toutes sorte de bonne raison pour la garder ici...

    Il lui demande de venir voir le moteur, il veut lui montrer quelques choses. Ne sachant pas trop quoi faire d'autre, elle fait ce qu'il lui dit, tout en se demandant pourquoi elle ne se met pas à crier. Aussitôt arrivée devant la voiture, il lui attrape le bras et lui dit :" Cette voiture a besoin d'une remorqueuse, vous devez venir avec moi dans le bureau !" Puis il lui met la main sur la bouche et l'entraîne de force a l'intérieur du bureau.

    Elle commence à lui mordre la main. Une fois à l'intérieur, il la laisse partir et lui dit : "Il y a un homme couché sur le siège arrière de votre voiture !!!"
    Mais la femme apeurée par en courant vers sa voiture et s'en vas a toute vitesse. Au bout de quelques minutes, regardent dans son rétroviseur, elle vit un homme avec un blouson à capuche et une hache dans la main sur la banquette arrière.

    Et l'homme d'un mouvement de bras décapita Denise avec sa hache. Le cadavre de Denise fut retrouvé peut de jour après. La police arrêta le tueur en série des années plus tard.

    Alors la prochaine fois, n'oubliez pas de regarder sur la banquette arrière de votre voiture......on ne sait jamais !






    Légende : Je viens te chercher

    21/02/2009 01:43

    Légende : Je viens te chercher


    Je viens te chercher

    Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée.

    Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.

    Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :
    « Floppy ?...    Floppy ?...   Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »
    Mais  Floppy n'arrivait pas.
    Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :
    « Floppy ?  ... Allez mon p'ti chien !  Tu t'es caché où ? »
    Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :
    « Allo ?

    - ...
    - Allo ? C'est qui ?
    - Ca va Aurélie ?
    - Heu... vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?
    - Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien  d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

    - Quoi !
    - Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.
    - Vous avez fait du mal à Floppy ?
    - Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»
    Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.

    Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !
    « Floooppyyyyyy !  Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »
    Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.
    Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.

    Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.

    Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.
    Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

    Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.

    La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.
    « Ca n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.
    - ...
    - Tu sais où je suis ?
    - Heu... n... heu... n... non.
    - Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !
    - Vous... vous... allez... ! Non, j'... j'ai... j'ai peur !
    - Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

    - ...
    - Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien.
    - Quoi ! ne faites pas de mal à Floppy , il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »
    Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.
    La voix à l'autre bout du fil reprit :
    - Tu sais Aurélie ?
    - Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy ! 

    - Je suis au premier étage maintenant ! »
    Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.

    Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.
    Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

    Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.

    Et le téléphone continuait de sonner...
    Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...
    Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...
    Et la sonnerie devenait insupportable !

    Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :
    « Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.
    - ...
    - Tu sais où je suis ? »
    Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.
    « Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

    La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.

    Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit petit était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.

    Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy  gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

    « Bouh ! Floppy...  Hmmm... hmmm... hmmmph... je vais te détacher mon petit chien... oh ! mon petit chien ».

    Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si... si... s'il avait vraiment été dans... l'escalier, pourquoi il...

    Je suis derrière toi....... !






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