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Tout sur Halloween

VIP-Blog de happy-halloween
  • 15 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 08/10/2007 00:27
    Modifié : 14/12/2023 03:49

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    La légende de Jack O'Lantern !

    08/10/2007 02:37

    La légende de Jack O'Lantern !


     La légende de Jack O'Lantern

    Jack, un forgeron irlandais qui aimait bien lever le coude, eut la malchance, la nuit d'Halloween, de rencontrer le Diable dans un pub. Ayant trop bu, Jack était sur le point de tomber dans les griffes du Malin, mais il réussit à embobiner ce dernier en lui offrant son âme en échange d'un dernier verre.

    Satan prit alors l'apparence d'une pièce en or pour payer le tavernier, mais Jack s'empressa de la glisser dans sa bourse.  Comme il  avait une croix en argent dans sa poche,  le diable ne put se transformer à nouveau. Jack refusa de délivrer le Démon avant qu'il ne promette de ne pas réclamer son âme avant dix années. Le Diable accepta le pacte.

    Dix années passèrent, puis un jour Jack croisa le Diable au détour d'un chemin. Le Malin voulait son dû. Jack eut alors une idée. Il lui dit :

    - Je vais te suivre, mais, avant d'y aller, veux-tu me donner une pomme de cette arbre ?

    Satan, considérant qu'il n'avait rien à perdre, grimpa sur les épaules de Jack pour cueillir une belle pomme.

    Jack en profita pour sortir son couteau et grava une grande croix sur le tronc d'arbre. Le Malin perché sur une branche fut dans l'incapacité de mettre la main sur Jack ou sur son âme. Il fit promettre à Satan de ne plus jamais réclamer son âme. Le Diable prit au piège n'eut le choix que d'accepter sa demande. Personne ne sait exactement comment il réussit à descendre de l'arbre, mais on suppose que Jack enleva l'écorce où se trouvait la croix.

     

    Lorsque Jack mourût, dix ans plus tard, il ne fut pas admis au Paradis à cause de son penchant pour l'alcool, de son avarice et de ses tromperies. Lorsqu'il demanda alors de pouvoir entrer en Enfer, le Diable dut le renvoyer, car il avait promis de ne jamais s'emparer de son âme.

    - Mais où puis-je aller ? demanda Jack.

    - Retourne d'où tu viens ! répliqua le Diable.

    Fouetté par le vent et plongé dans la nuit noire, Jack supplia le Malin de lui donner au moins de la lumière afin qu'il retrouve son chemin. Le Diable, pour en finir une fois pour toute avec lui, lui lança un charbon ardent, qu'il venait de sortir de feu de l'Enfer.

    - Tiens, voilà ! Maintenant va-t-en !


    Pour éclairer son chemin et pour éviter que le feu ne s'éteigne sous l'effet du vent, Jack plaça la braise ardente dans un navet, qu'il était en train de manger.

    Depuis lors, Jack est condamné à errer dans les ténèbres, sa lanterne à la main, jusqu'au Jugement Dernier. Jack à la lanterne ( Jack O'Lantern ) est devenu le symbole des âmes damnées.

     Historique

    Lorsque le nom de Jack O'Lantern apparut pour la première fois dans un livre, ce fut en 1750, il faisait référence à un veilleur de nuit ou à un homme portant une lanterne. Les gens croyaient que les esprits et les fantômes sortaient de leur tombe pour la nuit d'Halloween, à la recherche de la chaleur de leur ancienne demeure. Les villageois, redoutant de recevoir la visite de ces esprits se costumèrent et se mirent à parcourir les chemins du village afin de les effrayer et de les chasser.

    Ils laissaient également de la nourriture et autres douceurs devant leur porte pour apaiser les esprits et qu'ils passent leur chemin, de peur qu'ils ne s'en prennent à leur maison et à leur récolte. Ils évidèrent des navets et leur donnèrent un visage, mirent des chandelles à l'intérieur, dans l'espoir que cette figuration d'une âme damnée les fasse fuir.

     

    La famine de la pomme-de-terre en Irlande (1845-1850) poussa près de 700 000 personnes à émigrer en Amérique. Ces immigrants emmenèrent avec eux leurs traditions relatives à Halloween et à Jack O'Lantern, mais il y avait bien moins de navets qu'en Irlande, alors ils eurent l'idée de faire de même avec des citrouilles et le symbole d'Halloween était né.








    Qu'est ce que la fête d'Halloween ?

    08/10/2007 03:07

    Qu'est ce que la fête d'Halloween ?



     

    Qu'est-ce que la fête d'Halloween ?

    300 ans avant J.-C., une société secrète de prêtres tenait sous son emprise le monde celte. Chaque année le 31 octobre, ceux-ci célébraient en l'honneur de leur divinité païenne Samhain, un festival de la Mort des prêtres se déplaçant de maison en maison, réclamaient des offrandes pour leur dieu et exigeaient parfois des sacrifices humains. En cas de refus, ils proféraient des malédictions de mort sur cette maison, d'où le "trick or treat", malédiction ou présent, pour être plus clair: une offrande sinon la malédiction.

    Pour éclairer leur chemin, ces prêtres portaient des navets évidés et découpés en forme de visage, où brûlait une bougie faite avec de la graisse humaine de sacrifices précédents. Ces navets représentaient l'esprit qui allait rendre leurs malédictions efficaces.

    Au 18 ème et 19 ème siècle, quand cette coutume est arrivée aux Etats Unis, on a remplacé les navets par des citrouilles. Le nom donné à l'esprit qui habitait dans la citrouille était "Jock", qui est devenu "Jack" qui habite dans la lanterne, d'où le nom "Jack-o-lantern".

    Le mot Halloween vient de "All Hallow's Eve": veille de la Toussaint. Et on est tenté de l'associer à cette tradition chrétienne. En réalité, les origines de Halloween sont complètement païennes et n'ont aucun rapport avec cette fête religieuse.

    Aujourd'hui, dans le monde entier, Halloween est la fête la plus importante pour les satanistes. Le 31 octobre est le nouvel an du calendrier des sorciers.

    Le "Word Book Encyclopédia" affirme que c'est le commencement de tout ce qui est "cold, dark and dead" (froid, noir et mort).

     

    De nos jour encore, on sait que les satanistes pratiquent des sacrifices humains, cette nuit là, aux Etats Unis et en Australie.

    Quand nous voyons des enfants faire du "trick or treat" et réclamer des bonbons de maison en maison, cela parait inoffensif et amusant, mais n'êtes-vous pas entrain de les associer, sans en être conscients, à un bien sombre rituel ?

    Pour les parents de jeunes enfants, un aspect supplémentaire de l'invasion de l'occulte dans la culture doit être abordé au sujet d'Halloween.

    N'imaginez pas que ce jour particulier n'a rien à voir avec le satanisme. Vous serez certainement surpris, en apprenant comment, le 31 octobre, est devenu un prologue pour nous amener à accepter l'occulte. Que vous le croyez ou non, Halloween est devenu le jour du diable, rituellement reconnu par quelques adorateurs de Satan et quelques groupes occultes aux USA (il prend racine aussi chez nous).

    Quels sont les faits à propos d'Halloween? Est-ce le moment d'invoquer la vieille prière de la Cornouaille, "Bon Dieu délivre-nous des goules, des fantômes, des bêtes à longues pattes et qui cognent dans la nuit" ?

    Regardons un instant l'histoire de ce jour spécial

    Le prédécesseur chrétien d'Halloween, la Toussaint des catholiques romains, était célébrée à l'origine en mai et non le 1er novembre. En 308, l'empereur romain Constantin apaisa la population des territoires païens, nouvellement conquis, en leur accordant le droit de conserver leur ancien rite du Jour de Samhain, parallèlement à la dernière fête fixée, la Toussaint. Le panthéon de Rome, un temple construit pour adorer une multitude de dieux, fut converti en église. Pendant que les chrétiens célébraient leurs saints disparus, les païens dédiaient la nuit précédente à leur "seigneur de la mort". 

      








    Coutumes et traditions !

    08/10/2007 05:32

    Coutumes et traditions !


         Coutumes et traditions    

    Rebaptisée « Halloween » après que le pape Grégoire IV eut introduit en France, en 837, la Toussaint fixée au 1er novembre, la fête celtique de Samain existait voici plus de 2500 ans et se déroulait tous les 31 octobre : adoptée par les Gaulois, elle marquait pour les peuples celtes la fin de l'été, le début d'une nouvelle année, et constituait un moment privilégié de rencontre entre vivants et morts. D'origines distinctes, la « fête de tous les saints » et la « fête de la nouvelle année celtique » ne doivent pas être confondues avec une troisième, le Jour des morts fixé dès 1048 au 2 novembre.

    Le culte des morts est aussi ancien que la race humaine. Si haut qu'on remonte dans l'histoire, on le trouve déjà établi au cœur de l'homme : bien avant qu'il y eût des philosophes, les générations primitives du globe envisageaient la mort non comme une dissolution de l'être, mais comme un simple changement d'existence.

    Sans doute, ces générations primitives ne croyaient pas que l'âme se dégageait de sa dépouille charnelle pour entrer dans une demeure céleste ; elles ne croyaient pas davantage qu'après s'être échappée d'un corps elle allait en ranimer un autre. Elles croyaient que l'âme du mort restait dans le voisinage des vivants et poursuivait à côté d'eux une existence souterraine et mystérieuse.

    Et c'est pourquoi, à la fin de la cérémonie funèbre, elles l'appelaient trois fois par son nom, trois fois lui souhaitaient de se bien porter, trois fois ajoutaient : « Que la terre te soit légère ! » L'expression a passé jusqu'à nous, comme aussi la coutume du Ci-gît ou du Ici repose qu'on inscrivait sur les monuments funéraires, et que nous continuons d'inscrire sur les tombes de nos morts.

    La résurrection, croyance adoptée dès l'Antiquité

    La croyance à la résurrection des morts est générale dans l'Antiquité. Elle n'est pas une invention des druides, comme on pourrait le conclure à la lecture de César, Méla et Lucain : « Les druides, raconte César, veulent surtout persuader que les âmes ne meurent point, mais que des uns elles passent à d'autres après la mort ; ils pensent que c'est par cette croyance que principalement on excite le courage en ôtant aux hommes la crainte de la mort ».

    Quant à Méla, il affirme que « des doctrines enseignées par les druides à l'aristocratie, une seule s'est répandue dans le peuple, elle a pour objet de rendre les Gaulois plus braves à la guerre ; cette doctrine est que les âmes sont éternelles et qu'il y a une seconde vie chez les morts ».

    S'adressant aux druides, Lucain dit que « les ombres ne vont pas au séjour silencieux de l'Erèbe, ni dans les pâles royaumes du profond Dispater ; le même esprit gouverne des membres dans un autre monde ; si vous savez ce que vous enseignez par vos chants, la mort est le milieu d'une longue vie ». Cette doctrine est en fait une tradition antérieure au druidisme. 

     

    Un aspect presque universel dans le monde antique est la nécessité d'une barque pour arriver au séjour des morts, connue dans la littérature la plus ancienne de l'Inde. On la trouve dans les textes scandinaves, et même en Égypte. Dans son Histoire ancienne des peuples de l'Orient classique, Maspero rapporte que montée dans sa barque, l'âme du mort « pénétrait mystérieusement par la fente dans la mer occidentale, inaccessible aux vivants, et attendait la venue quotidienne du soleil mourant.

    La barque de ce dieu  s'arrêtait un moment aux frontières du jour ; les âmes instruites en profitaient pour se faire reconnaître et recevoir à bord. Une fois admises, elles prenaient part à la manœuvre et aux batailles contre les dieux ennemis ; mais elles n'avaient pas toutes le courage ou l'équipement nécessaires pour résister aux périls et aux terreurs du voyage ; beaucoup s'arrêtaient dans les régions qu'elles traversaient ».

     

    La situation de cet autre monde varie suivant la position géographique des divers peuples celtiques. Dans La Légende de la mort chez les Bretons armoricains Le Braz remarque que les gens du continent le plaçaient volontiers dans les îles. Une tradition fixée par écrit au VIe siècle par Procope rapporte que les habitants du pays situé en face de la Grande-Bretagne avaient pour charge de conduire les âmes des morts du continent dans l'île.

    Au milieu de la nuit, ils entendent frapper à leur porte, et une voix les appelle tout bas. Alors ils se rendent au rivage sans savoir quelle force les y entraîne. Ils y trouvent des barques qui semblent vides, mais qui sont tellement chargées des âmes des morts que leur bordage s'élève à peine au-dessus des flots. En moins d'une heure, ils sont arrivés au terme de leur voyage alors que d'ordinaire il leur faut une journée pour s'y rendre. Là, dans l'île des Bretons, ils ne voient personne, mais ils entendent une voix qui dénombre les passagers en les appelant chacun par leur nom.

    Ce n'est que d'après la littérature épique de l'Irlande que l'on peut se faire une idée de l'Elysée rêvé par les Celtes, pays merveilleux que l'on atteignait en s'embarquant sur une barque de verre au-delà de la mer. On apercevait une grande tour transparente aux contours indécis ; dans les ouvertures des créneaux apparaissaient des formes qui ressemblaient à des hommes. Quiconque essayait d'aborder au pied de la tour était emporté par les flots de la mer. Au delà de la tour s'étendaient des plaines fertiles plantées d'arbres étranges.

    Quelques-uns avaient des branches d'argent auxquelles pendaient des pommes d'or. Quand on heurtait ces pommes les unes contre les autres, elles produisaient un son si harmonieux qu'on ne pouvait l'entendre sans oublier tous ses maux. Au pied des arbres coulaient des ruisseaux de vin et d'hydromel. La pluie qui rafraîchissait la terre était de bière. Les porcs qui paissaient dans la plaine renaissaient, une fois mangés, pour de nouveaux festins. Partout une agréable musique flattait l'oreille et ravissait l'âme par ses douces mélodies.

    C'était bien la vie que le Celte avait pu rêver ici-bas, Toujours jeune, toujours beau, couronné de fleurs, il passait ses jours dans de longs festins où la bière ne cessait de couler et où la viande de porc ne manquait pas. Jamais il ne s'élevait de contestations pour savoir à qui devait revenir le meilleur morceau. Les combats étaient au nombre des plaisirs du peuple des morts ; les guerriers étaient armés d'armes éclatantes ; ils brillaient de l'éclat de la jeunesse ; les batailles étaient plus acharnées et plus terribles que chez les vivants et des fleuves de sang coulaient dans la Grande Plaine. Ainsi le Celte retrouvait dans l'autre vie tout ce qu'il avait aimé sur la terre, la musique, la bonne chère et la guerre.

    Cette croyance dans un prolongement de la vie a reçu des rationalistes diverses explications. Et les meilleures, s'il faut dire, ne sont guère satisfaisantes. C'est ainsi que, d'après Herbert Spencer, l'ombre mouvante des objets, l'image humaine réfléchie par les eaux, surtout les fantômes évoqués dans le rêve et l'hallucination durent suggérer aux premiers hommes la conception d'un « double », d'un corps subtil, plus ou moins séparable du corps mortel, d'un simulacre survivant à la mort et auquel on donna postérieurement le nom d'âme.

    De cette croyance primitive serait dérivée la nécessité de la sépulture. Pour que l'âme se fixât dans sa nouvelle demeure, il fallait que le corps, auquel elle restait attachée, fût recouvert de terre. L'âme qui n'avait pas son tombeau n'avait pas de domicile. Elle était errante et misérable, et c'est elle qui, pour punir les vivants de ne pas lui avoir donné le repos auquel elle aspirait, les effrayait par des apparitions lugubres.

    Mais la sépulture ne suffisait point. Et les morts avaient encore d'autres exigences. Si près des vivants, ils ne voulaient pas être oubliés d'eux ; ils requéraient des hommages, des soins particuliers. Volontaires d'abord, ces soins devinrent rapidement obligatoires, prirent la forme de rites. Ainsi se serait établi le culte des morts. Il y avait un jour de l'année surtout qui était consacré chez les anciens à ce culte.

                                                                          








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