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Catégorie : Récits effrayants

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VIP-Blog de happy-halloween
  • 34 articles publiés dans cette catégorie
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 08/10/2007 00:27
    Modifié : 14/12/2023 03:49

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    Légende urbaine : La tante

    18/10/2007 00:17

    Légende urbaine : La tante


     

    La tante

    C'était la première fois depuis la naissance de leur enfant que ce jeune couple partait en vacances. Ils avaient demandé à la tante de la jeune femme de garder leur bébé durant leur séjour, ce qu'elle accepta avec joie.

    Le jour du départ arriva, mais la tante n'était pas encore arrivée. La jeune femme décida donc de téléphoner à sa tante pour voir si elle était en route, car leur avion décollait dans quelques heures. La tante lui répondit qu'elle n'avait pas vu l'heure, et quelle partait immédiatement. Comme le temps pressait et que la tante n'avait que quelques kilomètres a faire, le jeune couple partit pour l'aéroport.

    Au bout de deux semaines, les jeunes parents étaient heureux à l'idée de retrouver leur enfant. Quand ils arrivèrent chez eux ,ils trouvèrent leur bébé dans sa chaise... mort. La tante était morte dans un accident de voiture en allant chez eux le jour de leur départ.






    La maison hantée de Maska !

    25/12/2007 03:19

    La maison hantée de Maska !


    La maison hantée de Maska

    Normand Grandmont en avait assez cette fois.  Il allait remonter en Canada pour régler cette histoire de fantômes une fois pour toutes.  Il venait tout juste de recevoir une nouvelle lettre de plainte d'un de ses anciens voisins de Saint-Germain et ça le mettait en rogne.  Le soir venu, il prépara sa valise et le lendemain, il monta dans la voiture de son beau-frère Victor pour se rendre à la gare d'Holyoke, Massachusetts, et de là, il gagna Saint-Germain.

    Le voyage était long et chemin faisant, il se rappela tout ce qu'on lui avait conté sur cette maison avant qu'il ne l'achète.  Des esprits malins s'en étaient emparé et la vie était devenue vite insupportable pour ses anciens propriétaires.  C'est pourquoi on lui avait vendu à très bon prix.  De son côté, ces histoires de peur le faisaient rire et son petit salaire de fromager ne lui donnait pas le choix.  Il voulait s'établir et fonder une famille.  Sa femme Laura par contre n'était pas rassurée.  Les rumeurs étaient persistantes dans tout le voisinage du chemin de Maska.

    Une fois installés, il y avait bien eu quelques bruits bizarres à la cave mais rien pour faire fuir un Grandmont.  C'est la crise économique qui l'obligea à quitter sa demeure en 1923 et à s'exiler aux Etats.  Il fallait bien nourrir les enfants.  Alors il avait vendu les animaux de ferme pour payer le voyage et avait loué sa terre à Israël Leclerc.  Une fois là-bas, il avait troqué la charrue pour le coffre de menuisier.

    Puis les plaintes s'étaient mises à affluer.  D'abord par le biais des lettres de la parenté puis par des lettres des voisins.  Certains disaient avoir vu un fantôme au dessus de la route devant la maison.  Les chevaux partaient en peur à chaque fois.  D'autres parlaient de lumières aux fenêtres barricadées à la hâte ou encore de sifflements bizarres.  Et là, en ce premier avril, devant les dernières montagnes américaines encore enneigées, il se demandait ce qu'il allait bien faire pour ce débarrasser de ces esprits.

    Arrivé à Saint-Germain, il se rendit chez son beau-frère Eugène pour loger.  Et c'est là qu'il apprit la bonne nouvelle.  Le fantôme et les esprits malins avaient été pris sur le fait.  Le fils de son locataire, Israël Leclerc, et ses amis étaient les auteurs de ces blagues.  Ils installaient des câbles entre une des cheminées de la maison et les grand ormes qui bordaient le côté opposé de la route.  Et la nuit venue, lorsque les passants revenaient du village, les gailurons promenaient un bonhomme de paille très haut au-dessus de la route grâce à un système ingénieux de poulies.  Avec le bruit des cordes et le pendu empaillé volant, les chevaux paniquaient, au grand plaisir des garnements.

    Le lendemain, au lever du soleil, Grandmont fit le tour de sa propriété puis rencontra Israël Leclerc.  Les deux hommes eurent une longue discussion puis ils se serrèrent la main.  Grandmont visita toute sa parenté pour avoir les dernières nouvelles et reprit le train à destination des États-Unis dans les jours qui suivirent.  Le journal La Parole fit mention de sa visite dans son édition du 7 avril 1927.  Enfin la famille Grandmont revint au pays quelques années plus tard.  Le travail de la terre reprit.  On coupa les grands ormes.  Les mariages des enfants se succédèrent, le patriarche décéda et on oublia ces histoires de peur.

    Puis le 26 janvier 1967, mystérieusement, la maison disparût dans les flammes emportant avec elle en quelques minutes toute l'histoire de cette famille Grandmont.  Aujourd'hui, plus rien n'indique l'emplacement de la maison.  La route a été élargie et le coteau de "galais" noir où elle était située a été nivelé.

    FIN







    Conte : Le suaire du cimetière

    25/12/2007 09:05

    Conte : Le suaire du cimetière


    Le suaire du cimetière

    Une couturière du bourg de Liffré, étant assez bonne ouvrière, avait beaucoup d’ouvrage, aussi prit-elle une apprentie pour l’aider.

    Toutes deux allaient en journée non seulement dans le bourg, mais également dans les villages de la paroisse et même dans les communes voisines.

    Un soir qu’elles s’en revenaient et qu’il faisait quasiment nuit, elles passèrent près d’un cimetière. Tout à coup, la maîtresse s’arrêta épouvantée et dit à son apprentie :

    « Regarde donc un suaire que voilà étendu sur une tombe avec des cierges allumés aux quatre coins. » Mais je ne vois rien, répondit la jeune fille, c’est sans doute pour me faire peur.

    — Comment ! Tu ne vois rien ? Là, à droite, à côté de la vieille croix paroissiale en granit.

    — Vous avez pour sûr la berlue, car moi je ne vois rien.

    Une fois rentrée chez elle la couturière raconta à sa mère ce qui lui était arrivé. « Je suis certaine dit-elle, d’avoir vu un suaire sur une tombe du cimetière et quatre cierges allumés. Cependant mon apprentie, elle, n’a rien vu. »

    — Celle qui voit, répondit la mère, est dans la grâce du bon Dieu, et celle qui ne voit rien est en état de péché mortel. La première fois que t’apparaîtra cette vision, il faudra t’armer de courage, entrer seule dans le cimetière, t’agenouiller près de la tombe, toucher le suaire et réciter des prières pour le mort qui a été enterré à cette place.

    Dès le lendemain soir, l’ouvrière aperçut ce qu’elle avait vu la veille. Elle congédia son apprentie et, plus morte que vive, alla prier sur la tombe.

    Comme elle touchait le linceul étendu à ses pieds, une voix semblant sortir des entrailles de la terre, lui dit : « Ce linceul servira à t’ensevelir. »

    La couturière se sauva, effrayée, et s’en alla répéter à sa mère les paroles qu’elle venait d’entendre.

    — C’est la peur que tu as eue, qui t’a rendue folle, et c’est ton esprit surexcité qui t’a soufflé aux oreilles des mots insensés. Il faudra retourner, mon enfant,sur cette tombe, afin d’avoir l’explication de ce mystère.

    — Oh ! je n’oserai jamais.

    — Je t’accompagnerai un bout de chemin, et je resterai à t’attendre.

    — Oui, comme cela j’y consens.

    Elle retourna sur la tombe au suaire, où elle entendit, très distinctement, les paroles suivantes :

    — C’est ta sœur, morte il y a un an, qui par ma voix te supplie de demander à ta mère de faire dire un trentain pour le repos de son âme.

    — Elle ne voudra pas me croire.

    — Alors tu lui montreras l’empreinte ineffaçable des cinq doigts de ma main, marquée sur ton épaule.

    Et la pauvre fille sentit la main du squelette peser sur elle.

    Comme elle se relevait épouvantée, la voix répéta encore : « Le linceul qui est sous tes pieds servira à t’ensevelir. »

    La couturière alla rejoindre sa mère, à laquelle elle fit part de ce qu’elle venait d’entendre, et lui montra les cinq doigts du squelette marqués sur son mouchoir de cou.

    Elle avait été tellement impressionnée qu’elle rentra malade chez elle, s’alita pour ne plus se relever. Une fièvre terrible s’empara d’elle, et la conduisit au tombeau après huit jours de délire et de souffrances.

    Lorsqu’elle fut morte, on aperçut sur une table, sans savoir qui l’avait apporté, le linceul du cimetière qui servit en effet à ensevelir le corps de l’infortunée couturière.

    FIN







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