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VIP-Blog de happy-halloween
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  • Créé le : 08/10/2007 00:27
    Modifié : 14/12/2023 03:49

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    La mort qui danse !

    04/08/2010 05:37



    La mort qui danse

    Il y a quelques années je relevai dans un quotidien suisse une publicité curieuse qui m'intrigua :

    «En compagnie de spécialistes des sciences occultes, venez découvrir l'univers secret du chamanisme et de la magie thibétaine. Pélerinage hors de l'espace et du temps. Places limitées.»

    Alléché par cette annonce, je m'inscrivis à ce voyage et, après quelques escales touristiques sans grand intérêt, à Bombay et Delhi, je me retrouvai à Katmandou, au Népal, au milieu d'une population en révolte, un couvre-feu sévère nous confinant à l'hôtel.

    L'accompagnateur suisse très embêté, nous dit qu'il serait probablement difficile d'accomplir notre programme.

    Au second jour pourtant, un vieux lama mongol, ridé comme une vieille pomme, proposa à trois volontaires de nous faire assister à une cérémonie secrète, interdite par les autorités.

    La plupart de nos compagnons de voyage refusèrent l'invitation par crainte, préférant rester à l'hôtel.

    Avec une ravissante jeune Suissesse, je fus le seul volontaire. Guidés par le moine et le Dr. K., un de nos accompagnateurs, occultiste renommé, l'on nous fit revêtir un costume du pays, crasseux à souhait, sorte de sac de jute informe avec une grande capuche.

    Dans le brouhaha d'une foule excitée, nous nous faufilons à pied, dans un vieux quartier de la ville, où rôdait une population bizarre.

    A un moment donné, notre guide nous fait descendre dans une cave de terre battue, où une forte odeur de renfermé et de pourriture nous assaille. La pièce sordide n'est éclairée que par une seule veilleuse à la flamme tremblante.

    Quelques défroques pendent aux murs, des masques sinistres, et plusieurs costumes rouges brodés d'or passé, semblables aux antiques dalmatiques des églises byzantines.

    Le moine nous pria de revêtir ces vêtements raides de crasse, puis nous coiffa de bonnets phrygiens de la même couleur, tels qu'en portent les prêtres des lamasseries tibétaines.

    Ainsi déguisés, nous sommes conduits dans un obscur couloir nauséabond qui déboucha sur une vaste pièce, basse de plafond, où régnait une fumée âcre.

    Accroupis ou couchés, plusieurs dizaines de Népalais, Mongols ou Tibétains, fumaient l'opium dans des pipes de terre ou de métal, tandis que les effluves de beurre rance et l'odeur entêtante de la drogue nous prenait à la gorge.

    Nous traversons la salle, enjambant les fumeurs, jusqu'à une petite ouverture dans la paroi de terre battue voilée sous une tenture, que nous soulevons pour descendre quelques marches encore.

    Là, nous nous retrouvons dans une vaste cave ronde, au plafond voûté, avec en son centre une sorte de cheminée obscure.

    De petites lampes à huiles disséminées à même le sol répandent autour d'elles une lumière glauque.

    De longues banderoles couvertes de caractères tibétains ou népalais tapissent les parois où, entre ces kadraghs magiques grimacent des masques aux figures terribles.

    Au centre de la cave, dans un espace délimité par des chaînes, brûle un feu de bûches odorantes dont la fumée s'échappe par la trouée de la voûte.

    De l'autre côté, une fresque aux couleurs vives, éclatantes, représente des scènes apparemment religieuses, grouillant de dizaines de personnages, avec des animaux fabuleux, des êtres fantastiques.

    Des brûle-parfums répandent des odeurs entêtantes qui me mettent très mal à l'aise.

    Engoncé dans mes vêtements trop ajustés, les tempes prisonnières, manquant d'air, écoeuré par les miasmes, je crains de me trouver mal.

    Mais le moine vient me soutenir et m'encourage à reste calme.

    Peu à peu cette crypte souterraine se remplit. Betty, la Suissesse, l'accompagnateur et moi, sommes les seuls Européens de cette assemblée. L'atmosphère déjà lourde s'épaissit encore, l'air confiné devient irrespirable.

    Soudain, la jeune fille cramponnée à mon bras s'évanouit.

    Je la ranime en lui massant doucement les tempes. J'hésite à lui faire de bouche-à-bouche bien que ce ne soit pas l'envie qui me manque. Quand elle revient à elle, je lui murmure:

    -Voulez-vous partir d'ici?

    - Non ! Je veux assister à tout?

    Une sorte de longue plainte s'éleva de la foule qui se transforme en mélopée, puis en chant.

    - Que va-t-il se passer? demandai-je à notre cicerone.

    - Nous allons assister à la cérémonie du rhô-ling, la réanimation sacrée, selon le rituel chamanique.

    Soudain, nous entendons des pas furtifs au-dessus de nos têtes, comme le piétinement d'une foule innombrable.

    Mais j'eus beau lever les yeux, je ne vis rien sinon les volutes tourbillonnants d'une fumée bleue qui s'échappaient en se tordant comme des serpents, aspirés par la cheminée.

    Entre les kadraghs apparurent, comme s'ils sortaient du mur, sept lamas, marchant d'un pas lent, mesuré, claquant leurs talons de bois sur le sol en un rythme obsédant.

    - Voici les gatchads ! nous souffla le Mongol. Ce sont les chamans, des sorciers !

    Fardés comme des masques, les pieds nus peints à la chaux, vêtus de tuniques noires à reflets mauves, en forme de sac, ils portaient sur la poitrine le squelette d'une main, index et médius tendus, les trois autres doigts repliés.

    D'une maigreur effrayante, on eût dit des momies. Avec effroi, je vis qu'il manquait une main à chacun d'eux, leur bras droit se prolongeant d'un moignon ! Etait-ce la main manquante qui pendait tel un scapulaire sur leur poitrine?

    Les doigts de leurs mains gauches étaient étranges. Le petit doigt ressemblait à un serpent, avec un ongle triangulaire d'où dardait une longue épine noire. L'annulaire enserré de bagues noires s'arrondissait en spatule à son extrémité. Le médius, plus court que les quatre autres était boursouflé de verrues.

    Quant à l'index, on eût dit une longue griffe effilée et le pouce, bizarre, immense, presque monstrueux se terminait par un marteau rond, en forme d'os fendu.

    Se dandinant en demi cercle autour du feu, ils franchirent sans les toucher les chaînes, en chantant une mélopée monocorde.

    Dans l'ombre, deux géants nus, au sexe énorme, le crâne rasé, le corps peint de dessins rouges et noirs, soufflaient dans un instrument curieux, que notre accompagnateur nous dit être fait d'ossements humains ! Les kangs !

    Serrée contre moi, la jeune Suissesse tremblait. Moi-même bien qu'habitué aux cérémonies étranges du bitwi ou du vaudou, je sentais une sourde angoisse me tenailler.

    De temps à autre, les mèches des lampes allumées flambaient brusquement, grésillaient, et répandant une lumière jaune et une fumée âcre, répugnante.

    Accroupis sur leurs talons, les prêtres de ce culte étrange se balançaient d'avant en arrière, touchant tantôt le sol devant eux de leurs fronts, leur main squelettique heurtant la terre, tantôt renversés en arrière, arqueboutés tels des acrobates, ils frôlaient de l'occiput, les yeux révulsés, le sol derrière eux.

    De longs colliers formés de 108 osselets humains, faisaient un bruit bizarre sur la terre battue.

    Etait-ce la musique, les odeurs, l'air confiné, la présence démoniaque de ces étranges lamas, toujours est-il qu'une ivresse m'envahit, allégeant mon corps, balayant toute pensée, toute angoisse de mon être fasciné.

    Je ne sentais plus à mes côtés la présence de ma compagne de voyage, ni du moine mongol ou de notre accompagnateur.

    Léger, disponible, je voguais sur un nuage, les yeux dans le brouillard bleuté, à travers lequel je voyais danser des images troubles.

    Tout à coup, l'un des géants bondit auprès des lamas, traça rapidement deux cercles sur le sol, à l'aide de sa trompette macabre, puis dessina des carrés et des triangles, des croix et d'autres signes probablement magiques !

    L'autre chaman inclina son instrument vers le feu, laissant s'écouler la salive accumulée dans le tibia. Le liquide visqueux sembla attiser les flammes qui vinrent lécher les voûtes en jetant des lueurs violettes et vertes. Dans un concert de crépitements, des brindilles dorées s'échappèrent et virevoltèrent sous la voûte, mais aucune ne franchit le cercle circonscrit sur le sol, autour duquel les sept lamas firent la chaîne en se tenant par les moignons !

    Ils dansèrent sur place, les visages inondés par la sueur qui ravinait leur masque, poussant des cris rauques entrecoupés de chants.

    Un des géants revint avec un animal noir qu'il tenait par les oreilles, et qui se débattait vigoureusement.

    Mais à peine l'animal, apparemment un lièvre, approcha-t-il du cercle magique, que ses mouvements stoppèrent et que, porté sur la ligne invisible, son corps se raidit, ses yeux devinrent rouges, immobiles, révulsés, comme fascinés.

    Il s'échappa de lui-même des mains du mage, et bondit dans les flammes où il prit feu d'un seul coup, embrasant la cave d'une lumière violente, jetant un cri atroce, quasiment humain.

    Du même coup, je vis disparaître dans les flammes les deux chamans géants et leurs sinistres instruments !

    La mélopée reprit, d'abord lente, puis plus rapide, syncopée, tandis que les lamas se contorsionnaient de plus en plus frénétiquement autour du feu palpitant au milieu du cercle magique.

    Je vis, - mais l'ai-je bien vécu ou seulement rêvé, dans l'état de semi-conscience dans lequel je me trouvais plongé? - je vis les flammes dansantes se transformer peu à peu en deux squelettes se tenant par les bras, des lueurs bleues clignotant au fond de leurs orbites, et dansant au même rythme que les lamas.

    Au bout d'une minute ou d'une heure, _ le temps ne comptait plus, _ il me sembla m'éveiller d'une longue léthargie. Suspendue à mon bras, Betty somnolait sur mon épaule. A ma gauche le Mongol semblait en prière. Derrière le cercle magique où les chaînes avaient disparu, le feu se mourait faute de combustible.

    Les sorciers n'étaient plus là, ni les squelettes, ni les géants.

    Mais soudain, les sept lamas vêtus de noir et de violet reparurent, traînant un long suaire blanc piqueté de taches brunes, aux deux extrémités nouées par des cordons rouges.

    Avant même que j'eusse aperçu son contenu, je fus pris de nausées car je savais ce qu'il y avait là-dedans: un cadavre  !

    Les officiants déballèrent le linceul à l'aide d'un trident et un corps d'homme très maigre apparut. Rongé par des tumeurs, le visage bouffi, avec des taches ignobles sur la peau, des vers grouillant dans les plaies à vif de sa chair blessée, il puait.

    L'un des 7 lamas entailla le cadavre d'un poignard recourbé au niveau du front, du cou, du coeur, de l'estomac et du sexe, pratiquant les cinq ouvertures rituelles pour laisser entrer le démon  ! comme me le chuchota le Mongol.

    Tout à coup, un homme bondit au milieu des chamans. Entièrement nu, jeune et très beau, le corps imberbe, avec un sexe harmonieux, un visage rayonnant. Il s'approcha du cercle magique, bondit au milieu du feu quasiment éteint qui se ranima d'un seul coup, léchant de ses longues flammes pourpres le corps nu du jeune homme. Un autre bond le propulsa devant le cadavre sur lequel il se pencha, puis se coucha de tout son long, épousant de son corps parfait la chair sanglante et putride.

    Les yeux fermés, le jouvenceau posa sa jolie bouche sur les lèvres blanches et froides du mort qu'il baisa.

    Je vis son corps magnifique étreindre avec force ce macchabée infâme, tandis que l'obscurité se fit plus dense dans la cave enfumée.

    Dans un silence total, religieux, à travers les volutes blanches et bleues qui naissaient du foyer, je vis ou je crus voir les deux corps s'animer en même temps.

    Ce ne fut d'abord qu'un frémissement, mais le mouvement s'accrut. Je sentis les ongles de Betty s'incruster dans ma peau, tandis que sous nos yeux, spectacle incroyable, le mort avait de longs soubresauts, soulevant le jeune homme qui le tenait toujours embrassé.

    Le mouvement s'anima. Dissipée par les flammes du brasero la pénombre nous laissait entrevoir, subjugués, la lutte que se livraient ces deux corps attachés l'un à l'autre.

    Soudain, le mort souleva le vivant et se dressa sur ses pieds, entraînant le jeune homme nu dans une sorte de danse frénétique.

    La bouche du garçon pressait toujours de ses lèvres la gueule livide, ses jolis bras gracieux serraient toujours la chair avariée contre lui, virevoltant dans l'espace restreint délimité par l'assistance et le cercle magique.

    A un moment donné, le jouvenceau arracha d'un coup de dents la langue du cadavre qu'il recracha dans les flammes tandis que son danseur s'effondra à ses pieds comme un pantin disloqué.

    Le retour à notre hôtel fut épique. Ravagée par une insurrection, la ville était à feu et à sang. Le spectacle fou de la cave se prolongeait dans Katmandou. Les coups de feu crépitaient, les cadavres jonchaient les rues. Des incendies illuminaient la nuit. Des dizaines de milliers d'émeutiers assaillaient les policiers débordés qui tiraient dans le tas, sans sommation.

    Après quelques heures d'un sommeil lourd peuplé de cauchemars, le consulat suisse organisa un convoi pour nous conduire à l'aéroport. Très choqués !

    FIN

    Maurice L. - Boulogne






    La vieille femme et son chat

    09/10/2012 23:40

    La vieille femme et son chat


    La vieille femme et son chat

                    Alors que le soleil commençait à se coucher, un orage éclata : des pluies incessantes formaient des flaques d'eau dans son jardin qui devint rapidement un terrain glissant.

    Par une belle journée d'été, une vieille femme caressait son gros matou, noir avec des yeux verts, tranquillement installée dans son fauteuil à bascule, sur le perron de sa maison : le soleil brillait, il faisait chaud et les insectes étaient au rendez-vous. Son mari avait disparu il y avait vingt ans maintenant, sans aucune explication. Depuis ce jour-là, elle l'attendait avec patience.

                    Soudain, elle se rendit compte que son chat n'était pas chez elle, à l'abri. Malgré le mauvais temps, elle sortit dehors pour récupérer son animal adoré, qui, assis sur le rebord du puits au fond du jardin, la regardait mystérieusement. Elle voulut se dépêcher mais glissa à cause de la boue et tomba dans le puits avec lui au moment où elle essaya de l'attraper.                                                           

                    Quatre mètres plus bas, la pauvre femme poussa un cri de douleur quand elle tenta de bouger : elle s'était tordu la cheville. A ce moment-là, elle sut qu'elle ne pouvait plus remonter à la surface. Elle entendit son chat miauler, ce qui la soulagea un court instant. En effet, dans ces miaulements, elle identifia également des voix : surprise, intriguée, se posant de multiples questions, elle décida de suivre ces bruits étranges. La veuve déboucha sur de vieilles galeries quand elle reconnut la voix de son mari disparu. Elle s'enfonça plus encore dans l'un de ces passages souterrains jusqu'à distinguer une tache lumineuse. En s'approchant davantage, elle aperçut son mari dans cette lumière sombre et étrange, qui était en train de creuser pour cacher de l'argent. La pauvre femme se mit à blêmir; elle était comme paralysée et entendit son cœur battre fortement. Puis, prise de tremblements, elle se mit à crier. A ce moment-là, son époux lui adressa la parole: "Viens m'aider, il faut le cacher avant qu'ils n'arrivent!".

                    Sans comprendre un seul mot, dans un mouvement de panique, elle commença à courir, de plus en plus vite, en oubliant la douleur à la cheville, jusqu'à trébucher sur quelque chose. Quand elle voulut savoir ce qui l'avait fait tomber, elle chercha à tâtons et sentit du métal froid: elle reconnut alors le médaillon que portait son mari grâce à la gravure imprimée en relief dessus. Elle sut alors qu'elle avait buté sur son cadavre...

                    Quelques mois plus tard, on pouvait voir le chat de la veuve, sur le rebord du puits, comme transformé en statue le jour et l'entendre, au crépuscule, poussant de terribles miaulements à travers la campagne...

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    Un bon chien

    09/10/2012 23:55

    Un bon chien


    Un bon chien

    Une femme rentre chez elle. Elle trouve au pas de sa porte son doberman Rex, qui s'étouffe. Elle l'amène aussitôt chez son vétérinaire.

    Celui-ci en pleine consultation, promet de s'occuper de Rex tout de suite en urgence. La femme repart inquiète à son travail, une heure plus tard, son téléphone portable sonne. Elle décroche, c'est le vétérinaire qui l'a rassure, Rex est sauvé.

    Mais d'un ton troublé, il lui demande où elle est, et lui impose de regagner son domicile sans tarder, car la police est en route pour chez elle. Etonnée, elle s'exécute tout en demandant des explications, durant le trajet le vétérinaire lui décrit tous les détails de son intervention et ce qui avait causé la mésaventure de son chien, la découverte de trois doigts humains qui étaient restés coincé au fond de sa gorge et qu'il avait aussitôt appeler la police. 

    Le doberman Rex surpris par le bruit inhabituel et l'intrusion d'un inconnu en l'absence de ses maitres, l'a attaqué pour défendre sa maison... Le vétérinaire a alors pensé que le cambrioleur blessé pouvait être encore à l'intérieur de la maison, c'est pour ça qu'il a prévenu  la police.

    Quand la police arrive sur place, le malfrat est bel et bien derrière la porte d’entrée, appuyé contre le mur avec sa main ensanglantée recouverte d'un bout de tissu sale, il y avait du sang partout, il gémissait, et tenait un couteau dans l'autre main.

    Il attendait patiemment le retour de la propriétaire des lieux et surtout de son chien Rex , il voulait se venger sur la bête, lui faire la même chose, "Oeil pour oeil, dent pour dent".






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