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VIP-Blog de happy-halloween
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  • Créé le : 08/10/2007 00:27
    Modifié : 14/12/2023 03:49

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    L'apprentie sorcière

    21/02/2009 02:39

    L'apprentie sorcière


    L'apprentie sorcière

    Un jour, une jeune fille se promenait dans une grande ville, elle cherchait désespérément à trouver un livre qui pourrait l'initier à la magie noire. Il commençait à faire nuit, et tout en médisant sur sa malchance, elle se préparait à rentré chez elle.

    Cependant, en tournant un coin de rue qu'elle avait déjà tournée, elle remarqua une petite librairie. Elle l'avait vu, mais n'y avait pas porté attention. Elle se dit qu'elle ne pourrait pas tout avoir, et se dit qu'un livre d'une librairie serait déjà mieux qu'un livre dans une petite boutique sombre sans retour possible, comme on voit dans les films d'horreur.

    La vie n'était pas un film, malheureusement. Elle entra donc dans la boutique, chercha dans un coin marqué ésotérisme. Prit un livre possédant une jolie couverture avec des sorcières, et paya.

    «Amusez-vous mademoiselle.», fit la libraire.

    La jeune fille ne se retourna même pas pour la saluer. Elle devait faire le trajet en métro, elle pourrait y lire le rituel d'initiation. «Se faire couler un bain, éteindre toutes les lumières, allumé des chandelles, ce qui serait la seule source de lumière, avoir un couteau, et un robe noire de satin.»

    Elle aima cela, elle avait tout chez elle ! Une fois rendu chez elle, elle fit les préparatifs. Puis en se plongeant dans l'eau avec sa robe elle vit le contour de sa robe prendre vie. Elle adorait ça! Elle s'assit et commença à chanter le cantique qu'elle avait mémorisé dans le métro. Elle prit le couteau et pressa la lame contre sa paume. Elle fit couler son sang sur un chandail rouge, qu'elle plongea ensuite dans l'eau. La flamme ne s'éteignit pas et elle commença à redouter les forces qu'elle venait d'appeler. Elle reprit son livre qui était resté près d'elle au cas où elle oublie le cantique. Lu une parti qui venait d'apparaître dans son livre a cause de la chaleur de la bougie.

    «Votre âme sera propriété de celui qui la trouvera une fois l'incantation faite.»

    Elle tenta de se lever de son bain, la robe s'était unit au bain, ses cheveux poussaient à une vitesse effroyable, et la flamme de la chandelle sous l'eau baigna l'eau d'une couleur rouge visqueuse gluante à l'odeur métallique. Elle se mit à crier, mais sa voix ne faisait plus aucun bruit dans la salle aucun crépitement un silence de mort elle se calma, regarda tout autour d'elle.

    Une des chandelles s'éteignit, laissant la fumée formée une orbe qui s'enflamma dans les airs.

    «Ton âme sera à moi, quel est ton désir ?»

    La jeune fille resta muette devant se spectacle. L'orbe de feu la rappela à l'ordre, et disparu.

    Le lendemain, elle retourna à la boutique, elle avait trop peur. La même libraire était là, assise sur sa chaise attendant les clients.

    « Madame, j'ai besoin de votre aide! », se mis-elle à crier, sans salutation.

    «Que puis-je faire, mademoiselle ?», fis-elle d'un vois charmante.

    Elle expliqua tout, et la libraire lui dit qu'elle devait avoir rêver.

    «Mais non je suis venu hier !»

    «Vous m'en verrez navrer mademoiselle, je n'ai vu aucune gamine insolente hier.»

    Une gamine insolente ? Mais c'était bien la vieille dame ! Quelle vieille horrible !

    «As-tu fait un voeux ?», fit la libraire.

    «Un voeux ?»

    «Que désires-tu ?»

    «Que vous me disiez comment renverser le sort !»

    «Que ton désir soit.»

    «Mon Désir? De quoi?»

    «Tu as déjà renversé le sort. Il ne faut pas oublier de tout lire dans un livre avant de l'utiliser.»

    Ne comprenant pas trop, elle retourna chez elle, le sort s'était inversé avait-elle dit. Pas besoin de s'inquiéter. Elle irait se coucher et tout serait pour le mieux. Elle ferma la lumière et se glissa sous les couvertures elle senti quelque chose se coller à elle, une sorte de tissus, du satin. Elle retira la couverte, et vu la robe de satin noir imbibé de sang sur elle. Des chandelles s'allumèrent, et l'ombre de feu revenu.

    «Voeux exaucé, retourne et donne-moi se qui mes de droit.», fit l'orbe de feu.

    Le lendemain, lorsque sa mère revint de ses vacances, elle trouva un corps vieillit par le temps, sec comme une momie, portant une jolie robe blanche de soie dans des couvertes teintées de sang. Un coeur au milieu de la pièce à l'intérieur d'un cercle de magie gravée dans la pierre du plancher. Un coeur qui s'était arrêter de battre, noircit par le temps.

    Un corps qui devait avoir vieillit plus de mille ans en quelques minutes.

    La mère retourna le livre à la librairie quelques jours plus tard, de peur de ce qu'il pourrait apporté. Elle y vit une jeune et jolie libraire, qui lui souriait chaleureusement.






    La légende de la Malentrée

    24/07/2009 00:57

    La légende de la Malentrée


    La légende de la Malentrée

    Un sanctuaire druidique dut sans aucun doute exister aux environs de Néris, au sein des profondes forêts qui couvraient autrefois le pays. Les pierres de cette enceinte sacrée ont disparu depuis longtemps déjà. Peut-être servirent-elles aux Romains pour la construction des premières villas qu'ils édifièrent à Néris quand, après avoir reconnu la vertu bienfaisante des sources, ils y établirent des thermes. L'une d'elles est cependant demeurée debout et sa présence au village de Larequille suffit pour attester car c'est une pierre à sacrifices que des cérémonies en l'honneur de Teutatès et de Bélem se tenaient jadis en ce lieu.

    La forme d'un corps est parfaitement dessinée sur cette pierre appelée dans le pays, nous verrons tout à l'heure pourquoi  la Malentrée. On y voit distinctement les emplacements d'une tête, des épaules, des reins, et, en pendant, celui des jambes. Les braves paysans qui ont donné son nom de Malentrée à ce mégalithe ignoraient l'histoire et se demandaient ce que signifiaient les empreintes qui le tatouent. Comme dans leur esprit il ne peut y avoir d'effet sans cause, ils cherchèrent une explication qu'ils finirent par trouver, en attribuant au diable les impressions en creux qu'ils voyaient.

    C'était en des temps très anciens, presque à la naissance du monde. Satan régnait alors en maître sur l'ensemble du territoire bourbonnais. De tout côtés, il y avait des collines au sommet desquelles il aimait s'asseoir pour contempler son royaume. Ses fidèles se prosternaient devant lui, le regardaient comme leur maître, leur dieu. Personne ne mettait son autorité en doute. Ses incubes et ses succubes se livraient, sous ses ordres, aux travaux les plus divers; mais le principal de leur besogne était de lui amener le plus grand nombre possible d'âmes en état de péché, qu'avec satisfaction il livrait aux flammes de l'enfer.

    Celui-ci avait même une entrée toute proche de l'ancienne pierre à sacrifice : la mauvaise ou la mal entrée.

    La tranquilité de Satan fut entière pendant de nombreuseux siècles. Aucun évènement ne la troubla. Il la croyait devoir être éternelle quand, un jour, l'un des démons à son service le prévint qu'un ermite, nouvellement arrivé dans le canton, battait sa puissance en brèche et se donnait pour mission d'arracher les habitants du lieu à son pouvoir.

    Assez inquiet de cette révélation, il procéda lui-même à une enquête et constata que s'était dressé devant lui un adversaire redoutable, avec lequel il devrait désormais compter. Il s'appelait Marien. C'était un très pieux personnage qui vivait dans une hutte de terre et de branchages, jeûnait et priait à longueur de journée, à moins qu'il ne sortît de chez lui afin d'évangéliser les hommes et les femmes qu'il rencontrait et qui consentaient à l'écouter.

    - Bast, se dit Satan, j'arriverai bien à me défaire de lui et à en débarasser mon domaine.

    Il alla trouver Marien, lui offrit de vivre en bon voisinage et l'invita à lui rendre visite. Le saint se rendit à cette invitation. Satan le reçut avec mille condescendances, le fit monter sur la plus haute colline de son royaume, voulut qu'il admirât les beautés naturelles du paysage, puis, insidieusement, comme il l'avait fait autrefois à Jésus, essaya de le tenter en disant:

    - Si tu le veux, tout le pays que voient tes yeux sera tien.

    - A quelles conditions? demanda le pieux anachorète.

    - C'est que tu me regarderas comme ton suzerain.

    - Tu veux rire ! s'exclama Marien. Je ne suis pas venu ici pour me prosterner devant toi, mais pour te chasser du pays, pour arracher de tes griffes des populations qui sont foncièrement bonnes et que tu tente de rendre mauvaise en les incitant à commettre des fautes, des crimes, afin que leurs âmes soient bien à toi.

    Marien attrapa le Diable par sa longue queue, avec cette invincible force que donne la foi, capable, dit l'Ecriture, de soulever des montagnes. Il le fit tournoyer plusieurs fois au-dessus de sa tête et le lança dans l'espace.

    Satan franchit le vallon voisin pour aller tomber sur la pierre de Malentrée, où il arriva meurtri et en poussant des cris déchirants. La hauteur de sa chute, de par les lois de la pesanteur, avait augmenté le poids de son corps. Celui-çi s'enfonça dans le rocher et le marqua à tout jamais d'un sceau impossible à faire disparaître.

    Les faits historiques les plus précis sont souvent interprétés différemment. Il n'en est pas autrement pour les légendes. Voici donc une version que l'on rapporte un peu partout, aux environs de Néris.

    Marien et Satan avaient longuement discuté: L'ermite entendait obliger le démon à s'en aller du pays et à n'y plus reparaître. Les deux antagonistes n'arrivaient pas à se mettre d'accord sur les conditions du marché. A bout d'arguments, Satan eut l'idée d'une proposition transitoire:

    - Tu voudrais, dit-il au saint, que je m'en aille d'ici, que j'abandonne purement mes droits acquis. Cela mes impossible et tu ne saurais m'y contraindre. Voici ce que je te propose: celui de nous deux qui sautera le moins loin, laissera la place à l'autre, s'en ira et ne reviendra plus.

    - C'est entendu, répondit Marien.

    Relevant sa robe de moine, en fixant le bas à la hauteur de sa taille dans sa cordelière, le saint pris son élan et, d'un bond prodigieux, alla atterrir à plus de cent mètres au delà du rocher de la Malentrée.

    Satan applaudit mais rit intérieurement, certain qu'il se croyait, soutenu par ses grandes ailes palmées, de dépasser largement la longueur de saut de son partenaire.

    Sans donner l'impression d'un gros effort, il s'élança, à son tour, d'un coup de jarret vigoureux. En le voyant partir, Marien ne fut pas sans crainte d'être vaincu. Il en appela à Dieu et traça dans l'espace le signe de la croix. Aussitôt, Satan perdit de sa vitesse, les membranes de ses ailles se déchirèrent comme il arrivait au dessus de Malentrée. Il tomba lourdement sur la pierre et ce fut au tour de Marien de rire, pendant que, plein de confusion et en se frottant les côtes, le diable vaincu s'engouffrait dans le souterrain tout proche et regagnait son infernal séjour pour y soigner ses courbatures.

    Les hypothèses furent très nombreuses, certains croyaient à un espèce de reptile, une outarde ou même un kangourou, mais aucune de ces explications ne tient la route. D'autant plus que la distance parcourue est vraiment trop grande pour qu'un homme puisse la parcourir en une seule nuit et nul n'est capable de sauter par dessus les murs ou de suivre le curieux trajet qu'avait suivie la bête.

    En 1855, les hélicoptères et les moyens que nous aurions aujourd'hui pour faire ce genre (et encore là, il serait impossible de le faire avec autant de discrètion que celle dont à fait preuve l'insolite animal) seraient bruyant et resterais complexe. À cette époque, le ballon à air chaud motorisé venait de faire son apparition en France (1852), mais il aurait été impossible d'effectuer un tel parcour avec une telle précision. De plus, les moteurs étaient bruyants.

    D'ailleurs, il ne faut pas oublier que pour compliquer toute l'histoire, les témoins ont tous déclarés que les traces ne semblaient pas avoir été faite par compression, mais plutôt comme si la neige avait été enlevée.

    Il ne semble pas exister d'explication plausible à cette histoire, elle fait partie de ces récits donc la cause restera pour toujours ignorée...

    FIN






    Légende : Les traces de sabot du Diable

    24/07/2009 01:44

    Légende : Les traces de sabot du Diable


    Les traces de sabot du Diable

    Cette petite histoire nous se produisit le 8 février 1855 dans la campagne anglaise. Ce jour est resté gravé dans la mémoire des habitants des nombreux petits villages de la région du Devon. Bien qu'aucune preuve concrète soit restée visible de cet évènement, il y a eu plusieurs témoins, ce qui peut donner une bonne crédibilité à l'histoire.

    Les marques de « sabot du diable » doivent leur nom aux villageois stupéfaits qui les ont vu apparaître du jour au lendemain alentour de leurs villages. Ce matin là, ils découvrirent dans la neige d'innombrables empreintes mystérieuses. L'énigmatique piste fesait le tour de 18 villages et se retrouvait sur plus de 160 kilomètres

    Ce qui rendait la piste vraiment mystérieuse, c'est que les traces de sabots étaient alignées en ligne droite, comme si la créature qui les avaient laissée derrière elle n'avais qu'une patte, ou marchait en bondissant un pied devant l'autre. Les traces fesaient 7 cm de largeur et 10 cm de longueur. Les empreintes se répétaient à intervalle régulier et, n'avaient laissées aucun résidus de neige alentour, comme si la neige avait été enlevée ou avait fondue. À certains endroits les traces étaient si nettes qu'ont auraient pu croire qu'elles avaient été imprimées ou encore coupées grâce à un couteau.

    Accompagnés de leurs chiens et de leurs armes, certains villageois décidèrent donc d'enquêter sur ce phénomène, mais ce qu'ils trouvèrent ne fera que renforcer davantage le mystère. Ils sillonnèrent la campagne en tous sens, visitant les fermes, reliant les villages de Bicton, Powdersham, Dawlish, Totnes, Torquay et quelques autres.

    En effet, les traces ne semblaient que très peu être influencées par les contraintes du terrain. La mystérieuse créature avait marchée sur les murs, sautée par dessus des maisons et traversée de murs par des fissures ou marcher par dessus des charettes remplies de foin. Le comble fut atteint lorsqu'on en découvrit à l'intérieur d'une buse de drainage de 15 centimètres de diamètre, entrant et ressortant de l'autre coté comme si l'obstacle n'avait pas existé... Les traces traversaient un estuaire et se recroisaient aussi à certains endroits, rendant presque impossible de savoir ce que pouvait bien chercher cette curieuse créature.

    Les hypothèses furent très nombreuses, certains croyaient à un espèce de reptile, une outarde ou même un kangourou, mais aucune de ces explications ne tient la route. D'autant plus que la distance parcourue est vraiment trop grande pour qu'un homme puisse la parcourir en une seule nuit et nul n'est capable de sauter par dessus les murs ou de suivre le curieux trajet qu'avait suivie la bête.

    En 1855, les hélicoptères et les moyens que nous aurions aujourd'hui pour faire ce genre (et encore là, il serait impossible de le faire avec autant de discrètion que celle dont à fait preuve l'insolite animal) seraient bruyant et resterais complexe. À cette époque, le ballon à air chaud motorisé venait de faire son apparition en France (1852), mais il aurait été impossible d'effectuer un tel parcour avec une telle précision. De plus, les moteurs étaient bruyants.

    D'ailleurs, il ne faut pas oublier que pour compliquer toute l'histoire, les témoins ont tous déclarés que les traces ne semblaient pas avoir été faite par compression, mais plutôt comme si la neige avait été enlevée.

    Il ne semble pas exister d'explication plausible à cette histoire, elle fait partie de ces récits donc la cause restera pour toujours ignorée...








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