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VIP-Blog de happy-halloween
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  • Créé le : 08/10/2007 00:27
    Modifié : 14/12/2023 03:49

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    Je reviens d'entre les morts...

    04/04/2008 03:47

    Je reviens d'entre les morts...


    Je reviens d'entre les morts....

    «A la suite de fatigues longtemps soutenues, je fus atteint d'une fièvre nerveuse qui épuisa rapidement le reste de mes forces.

    Chose étrange ! Il me semblait que la vie, qui abandonnait peu à peu mon corps, se réfugiait toute entière dans mes facultés morales.

    Réduit au dernier degré de l'atonie physique, jamais je n'avais éprouvé plus de force ou même d'exaltation morale.

    Le moment de la crise définitive arriva : je me sentis comme emporté dans un tourbillon lumineux au milieu duquel flottaient les figures les plus fantastiques, tandis que mon corps était agité de frissons couvulsifs et que retentissaient à mes oreilles les éclats et les sifflements d'une affreuse tempête.

    Je me cramponnai de toutes mes forces à la vie qui paraissait vouloir m'échapper, lorsque enfin mes sensations devinrent si confuses, que je m'abandonnai malgré moi à cet état qui n'était pas sans quelque douceur, et je perdis bientôt tout sentiment de l'existence.

    Je ne sais combien de temps je restais ainsi, quand tout à coup je me réveillai dans un calme presque extatique: mon corps était parcouru par une foule de sensations voluptueuses et mes sens, ainsi que mon intelligence, m'étaient complètement rendus...

    En ce moment le médecin, s'étant approché de mon lit, laissa échapper ces mots : « Tout est fini ! »

    Puis il recouvrit ma figure d'un drap, et mes oreilles furent frappées par les sanglots de ma famille éplorée.

    Alors je voulus parler, faire un mouvement. Je sentis avec horreur que ma langue était fixée à mon palais et que mes membres, qui percevaient le contact des couvertures qui m'enveloppaient, enlacés par d'invisibles liens, se refusaient à exécuter le moindre mouvement.

    Dès le lendemain et durant trois jours, je restai exposé pendant que les amis de la famille venaient faire leur visite de condoléance.

    J'entendais et je comprenais tout ce qui se passait autour de moi et, de minute en minute, j'espérais vainement que le charme fatal qui pesait sur moi allait être brisé.

    Le matin du quatrième jour, je fus remis aux mains des ensevelisseurs qui me traitèrent avec la plus révoltante brutalité; et lorsque l'un d'eux, pour me faire entrer dans une bière trop étroite, pressa de son genou ma poitrine, j'éprouvai une si cruelle torture que j'eus l'espoir un instant que la possibilité d'exprimer ma souffrance allait m'être rendue.

    Il me fallut encore y renoncer. La bière fut recouverte et j'entendis bientôt le grincement des clous qui s'enfonçaient lentement dans le bois.

    Il me serait impossible de trouver les termes pour exprimer ce que mon âme contenait alors de terreur et de désespoir. Chaque coup de marteau vibrait douloureusement dans ma tête comme un glas funèbre m'annonçant le destin qui m'était réservé.

    Encore si j'avais pu crier, si, même sans espoir d'être entendu, j'avais pu pousser quelques gémissements  !...

    Mais non ! Tandis que ma poitrine et mes épaules étaient écrasées dans un espace étroit, tandis que je sentais ma tête et mes membres meurtris et déchirés par le dur contact et par les aspérités de la bière, il me fallait rester immobile et sans voix.

    Je n'aurais jamais cru que, sans se briser, un coeur pût être labouré par d'aussi épouvantables angoisses.

    Bientôt on me souleva, on me déposa sur le char funèbre qui se mit en route et on arriva au cimetière.

    A ce moment, je voulus tenter un dernier effort mais ce fut toujours en vain. Je me sentis balancer au-dessus de la tombe qui allait m'engloutir et tandis qu'on me descendait lentement, je distinguais le bruit que faisait le cercueil en froissant les quatre murailles de terre.

    Quand je fus parvenu au fond de la fosse, j'entendis la voix grave et solennelle d'un ami. Il m'adressait un tendre adieu qui parvint jusqu'à moi comme un dernier écho des bruits de la terre.

    Et bientôt un fracas épouvantable, qui s'éteignit peu à peu comme des roulements lointains de tonnerre, m'annonça que ma tombe venait d'être comblée.

    Tout était donc fini ! J'étais pour jamais séparé des vivants. Comment ne suis-je pas mort en cet instant terrible ?...

    Je ne sais combien de longues heures je restai ainsi. J'avais espéré que mes angoisses seraient brèves et qu'une prompte asphyxie éteindrait, et mes sensations, et mon existence.

    Je m'étais encore trompé. Je ne pouvais faire aucun mouvement, mon coeur ne battait plus, ma poitrine n'était soulevée par aucune inspiration et pourtant je vivais !

    Car je souffrais ! Je vivais ! Mon intelligence et ma mémoire n'avaient rien perdu de leur énergie...

    Cependant, mes tristes pensées furent interrompues par un bruit lointain qui d'abord me plongea dans une grande anxiété.

    Le bruit se rapprocha insensiblement et je sentis mon cercueil arraché des entrailles de la terre. On l'ouvrit et je perçus l'impression d'un froid pénétrant; impression qui me parut pourtant délicieuse, illimitée qu'elle était par un rayon d'espérance.

    On me transporta longtemps puis on me laissa tomber lourdement sur un marbre humide et glacé.

    J'entendis autour de moi une multitude de voix. Des mains me palpaient en tous sens, et un de mes yeux ayant été ouvert par hasard, je me vis au milieu d'un amphithéâtre de dissection et entouré d'un grand nombre de jeunes gens, parmi lesquels je reconnus deux de mes anciens compagnons de plaisir.

    Je ne saurais dire si, en cet instant, la terreur l'emportait en moi sur la joie. Certes ma situation était devenue moins cruelle car il pouvait se faire que les expériences auxquelles on allait me soumettre me rendissent à la vie ou du moins me donnent promptement la mort.

    On résolut d'abord de me soumettre à un courant électrique. L'appareil fut préparé et à la première décharge de fluide, mille éclairs jaillirent devant mes yeux et une commotion terrible ébranla tout mon être.

    Une seconde décharge fut plus énergique encore; je sentis tous mes nerfs vibrer comme des cordes d'une harpe et mon corps se dresser sur son séant, les muscles contractés, les yeux ouverts et fixes.

    J'aperçus en face de moi deux amis dont les traits exprimaient l'émotion de la douleur et ils demandèrent avec insistance que l'on mît fin à ces hideuses expériences.

    On m'étendit sur la table de marbre. Le professeur s'approcha de moi, le couteau à la main et me pratiqua une légère incision sur les téguments de la poitrine...

    Au même moment une révolution épouvantable s'opéra dans tout mon corps, je parvins à pousser un cri terrible en même temps que les assistants laissaient échapper des cris d'horreur. Les liens de la mort étaient brisés : j'étais rendu à la vie.

    FIN








    La légende du Bonhomme Sept heures

    21/04/2008 01:45

    La légende du Bonhomme Sept heures


    Le Bonhomme Sept heures

    Les enfants feraient bien d'écouter leurs parents...

    Tous les Québecois connaissaisent l'histoire du bonhomme sept heures. Il existe plusieurs différentes versions de ce conte. Pour certains, le bonhomme sept heures est un ogre, pour d'autre, un homme avec des pouvoirs monstrueux. Dans tous les cas cependant, il cherche à kidnapper les enfants qui ne sont pas au lit à 7 heures (19h00).

    Lorsqu'il repère un enfant désobéissant, il rôde autour de la maison pendant un moment, cherchant l'entrée la plus sûre pour le pas éveiller les soupçons des parents. Il se rend ensuite où se trouve l'enfant et l'emporte avec lui en le mettant dans sa grosse poche. L'enfant serait emporter très loin, dans le repaire du monstre où il sera plus tard dévoré.

    Origine de cette légende

    Le bonhomme sept heures est la version québecoise du "Boogie man" américain.

    Véritablement, l'expression du bonhomme sept heures vient d'une déformation des mots anglais "bone setter". Cette expression signifie un "ramancheur". Le terme étant moins populaire qu'il l'était autrefois, un ramacheur est un médecin (généralement non-qualifié) qui replace les articulations et qui aide à guérir les fractures diverses, les maux de dos... Mais généralement, il replaçais les articulations à leurs places. Les séances étant souvent très douloureuse, ils avaient donc la même réputation que celle qu'on attache souvent au dentistes.

    Tout porte à croire que les parents menaçaient d'envoyer leurs enfants voir le "bone setter" si ils n'étaient pas sage. Eux qui, dans la plupart des cas, avait vu leur pauvre père ce faire torturer par cette inconnu, prenaient donc peur et restaient obéissants. Lentement, grâce à la déformation lingustique du mot, le bonhomme sept heures remplaça le "bone setter" qui deviendra donc un personnage mythique de la culture populaire Québecoise.






    La légende du Capitaine Craig

    16/06/2008 01:35

    La légende du Capitaine Craig


    Le Capitaine Craig

    Au début du siècle dernier, de grands vaisseaux arrivaient de ports lointains et inconnus et pénétraient dans la Baie des Chaleurs jusqu’aux estuaires les plus éloignés. Ils s’y arrêtèrent. Lorsque ces vaisseaux approchaient des côtes, ils amenaient leurs voiles et hissaient un pavillon qui signifiait qu’ils avaient besoin d’un pilote expérimenté pour les aider à s’approcher du littoral. A cette époque, il n’y avait pas de phares, ne de bouées, aucune aide à la navigation et surtout, pas de quai. Une fois le navire solidement ancré en lieu sûr, ils partaient à la recherche de fourrures.

    Ces maraudeurs marins visaient particulièrement les villages indiens, parce qu’ils savaient que les habitants étaient vulnérables, faciles à exploiter. Les Indiens échangeaient leurs précieuses pelleteries contre des nouveautés et des articles sans valeur. Par la suite, les brigands leur donnaient de l’alcool et volaient toutes leurs fourrures.

    Parmi ces pirates, le tristement célèbre Capitaine Craig était certainement le plus connu. Il parlait assez couramment le dialecte local, puisqu’il visitait les autochtones une fois par année.

    Par un beau matin tranquille, on aperçut le vaisseau du Capitaine Craig sur les eaux de la Baie. En se rapprochant du littoral, le capitaine hissa son pavillon pour faire venir le pilote. Celui-ci embarqua dans un petit bateau pour traverser jusqu’au navire qu’il guida par la suite vers l’endroit choisi par le capitaine, un village indien. Son travail terminé, le pilote rentra chez lui pour attendre le signal du départ.

    Vers la fin de l’après-midi, l’équipage ayant accompli leurs devoirs à terre, le navire envoya le signal au pilote qui se chargerait de guider le navire à travers la zone dangereuse jusqu’à la mer. A peine avaient-ils levé l’ancre que le pilote entendit des cris et des gémissements. Il donna l’ordre au Capitaine Craig d’amener immédiatement ses voiles et jeter l’ancre. Au début, le capitaine et son premier lieutenant refusèrent d’obéir, mais lorsque l’énorme pilote menaça de les lancer à l’eau, ils firent ce qu’il leur avait demandé. Et quelle surprise ! Le pilot découvrit deux jeunes Indiennes, ligotées et cachées sous un tas de pelletries. Les pirates avaient kidnappé les jeunes filles pendant que leurs parents étaient saouls. Le capitaine et son premier lieutenant avaient prévu violer les deux filles et les jeter à la mer après. C’est ce qu’ils faisaient, ou essayaient de faire, chaque fois qu’ils visitaient le village.

    Après avoir libéré les deux jeunes filles, le pilote les ramena à terre pour qu’elles puissent retourner à leur tribu. Elles ne savaient pas trop comment le remercier de les avoir sauvées d’un sort épouvantable. Elles l’avertirent qu’il ne devait pas retourner au navire, puisqu’un grand malheur allait se produire. Malheureusement, il ne suivit pas leurs conseils.

    Malgré tout, on finit par lever l’ancre et hisser les voiles. À peine dix minutes plus tard, un grand remous se produisit, fracassant le grand navire sur les roches. Tous les membres de l’équipage, sauf le capitaine et son premier lieutenant, moururent sur le coup. Quant au pilote, qui nageait comme un poisson, il réussit à regagner la côte qu’il avait quittée à peine quelques minutes auparavant.

    Le capitaine et son premier officier se noyèrent avant d’atteindre la terre ferme. On essaya en vain de les ressusciter. Les deux jeunes Indiennes étaient toujours là, tremblant de peur. Elles avaient vu le naufrage et priaient Dieu de secourir leur sauveteur. Lorsque le pilote eut repris ses forces, on lui prêta un bateau pour qu’il puisse rentrer chez lui.

    Ce même soir, alors que le temps était toujours calme sous un ciel orageux, on vit glisser une énorme lumière rouge sur la surface de la baie. C’était une boule de feu qui prit la forme du navire du Capitaine Craig. On y aperçut même les membres de l’équipage qui amenaient les voiles, jetaient l’ancre et hissaient le pavillon pour appeler le pilote. Et ce n’était pas la seule fois qu’on aperçut le navire dans une boule de feu.

    Pour voir l’apparition, le temps doit être exactement comme la journée du naufrage. Plusieurs habitants de la région de Bathurst affirment avoir vu plusieurs fois cette apparition légendaire. Quelques-uns disent avoir vu le navire en plein jour qui se dirigeait vers la terre, qui arrêtait à une centaine de pieds seulement de la rive, et qui disparaissait ensuite comme par magie.

    Théories 

    Des dizaines de milliers d’observateurs affirment avoir observé ce phénomène, des scientifiques essaient depuis un demi-siècle de d’en découvrir le secret, quelques pêcheurs audacieux ont essayé de le rejoindre avec leurs goélettes, mais le «navire de feu» qui navigue sur les eaux de la Baie des Chaleurs entre la côte nord du Nouveau-Brunswick et la Gaspésie demeure toujours enveloppé de mystère.

    Bien que ce phénomène ait été observé par plus de personnes que toute autre apparition inexpliquée au Canada, il reste aussi insaisissable que le bout de l’arc-en-ciel. Ceux qui ont osé le poursuivre disent qu’il garde toujours la même distance, et ceux qui l’ont observé en utilisant un télescope affirment que le grossissement ne révèle aucun détail imperceptible à l’œil nu.

    La plupart des observateurs voient un bateau en flammes. Le navire de feu est le roi indiscutable de la flotte des ténèbres, se distinguant autant des autres navires fantômes qu’un paquebot d’un minable tramp. Il parcourt les rivages du nord du Nouveau-Brunswick sur une distance de cent-vingt-cinq milles, entre la ville papetière prospère de Dalhousie, près de l’estuaire de la rivière Restigouche au bout de la Baie des Chaleurs, jusqu’à Bathurst et l’Île Miscou, où la Baie rejoint le Golfe du St-Laurent.

    Il peut demeurer stationnaire pendant des heures et disparaître peu à peu ou il peut émettre une lueur brillante et disparaître tout d’un coup; il peut frôler les vagues à la vitesse du vent. Certains déclarent avoir vu le navire de feu en plein jour, mais en général, l’évidence laisse croire qu’il se montre seulement la nuit.

    Les pêcheurs en discutent très volontiers, certains croyant qu’il s’agit d’un phénomène naturel, d’autres affirmant qu’il s’agit d’une manifestation surnaturelle. Quelques-uns vont jusqu’à traiter d’ignorants les tenants de la thèse fantôme. Par contre, des centaines d’hommes et de femmes bien respectés dans leur milieu jurent qu’ils ont vu un navire en flammes dont l’existence n’a aucune explication scientifique.

    En fait, il y a quelques années, par une journée très chaude du mois de juillet, il y avait une brume de chaleur au-dessus de la mer devant la plage Youghall. La foule était nombreuse sur la plage, alors il y avait beaucoup de témoins oculaires lorsque  tout d’un coup  le Vaisseau fantôme fit son apparition. En regardant le long de la côte, on aurait dit que le navire se trouvait au large de Belledune, à deux milles environ de la plage.

    La nouvelle circulait très rapidement sur la plage. On a eu le temps d’aller chercher des jumelles et de les passer aux autres, puisqu’on a pu l’observer pendant plus d’une demi-heure. Certains de nos enfants l’ont vu. Tout le monde s’enthousiasmait, tout le monde parlait, tout le monde avait les yeux rivés sur le bateau. C’était une apparition merveilleuse et incroyable.

    Il y a des scientifiques qui expliquent qu’il s’agit de feu St-Elme – une décharge électrique lumineuse plus ou moins continu de l’atmosphère vers la terre, mais le feu St-Elme se manifeste normalement à l’extrémité d’un objet pointu tel qu’un clocher d’église ou le mât d’un bateau. De plus, le feu s’accompagne normalement d’un bruit de craquement. L’apparition de la Baie des Chaleurs, selon les dissidents, n’a rien à voir avec des objets pointus, ne se montre qu’au-dessus d’une grande étendue d’eau et ne fait aucun bruit.

    Une autre théorie voudrait que le navire de feu ne serait qu’une boule de gaz inflammable possiblement émise d’une faille sous-marine qui serait également responsable de la distribution de boules de houille bitumineuse sur nos plages blanches.

    Une troisième possibilité, c’est que l’illusion du navire de feu serait créée par une forme de vie marine phosphorescente. Cette idée fait rigoler les biologistes, puisqu’on a déjà vu le navire de feu en plein hiver quand la Baie des Chaleurs était recouverte de glace.

    A l’ouest de Caraquet, au fond de la Baie des Chaleurs et à Campbellton, on associe généralement le navire de feu au Marquis de Malauze, une frégate de la marine française poursuivie jusqu’à la Rivière Restigouche et coulée par les Anglais en 1760. Cette version de l’histoire serait plus vraisemblable si ce qui reste du Marquis ne reposait pas si tranquillement dans le jardin du monastère sur la réserve indienne à Pointe-à-la-Croix, au Québec.

    Et, en fin de compte, il y a le vaisseau fantôme du Capitaine Craig, l’explication la plus spectaculaire de toutes !






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