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Tout sur Halloween

VIP-Blog de happy-halloween
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  • Créé le : 08/10/2007 00:27
    Modifié : 14/12/2023 03:49

    Fille (0 ans)
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    Conte : La revanche du fantôme

    10/10/2007 02:07

    Conte : La revanche du fantôme


    La revanche du fantôme

    C'est l'histoire d'une jeune femme, âgée de 17 ans du nom de Lucie qui tomba amoureuse d'un jeune lieutenant dans le temps de la guerre. Il s'appelait William et était très beau et très courageux, bien qu'il n'était pas riche comme l'aurait souhaité Lucie.

    La veille de son départ à la guerre pour une autre bataille, il demanda Lucie en mariage et lui donna un petit anneau doré tout simple gravé d'une toute petite rose et le passa à son doigt. Il fit promettre à Lucie que quoiqu'il arriverait elle n'épouserait jamais un autre homme. Elle promit un peu malgré elle pour ne pas décevoir le jeune homme qui se préparait à la guerre.

      

    Quelques temps plus tard, on sonna à la porte. Exténué, un officier confédéré apporta des nouvelles de la terrible bataille qui avait fait rage: le jeune soldat avait été blessé à mort. Quelques mois plus tard, Lucie fit la connaissance d'un ami de William, Peter, qui lui aussi avait été soldat.

    Ensemble, Lucie et Peter ils allèrent jusqu'à la tombe de son William. Arrivés devant sa tombe, elle demanda à rester seule un moment. Elle prit l'anneau que son époux lui avait donné et le jeta au milieu des mauvais herbes. Des semaines passèrent et Lucie commença à s'attacher à Peter.

     

    Ils tombèrent amoureux l'un de l'autre et décidèrent de se marier avant la prochaine grande bataille. Une somptueuse cérémonie se préparait. Une couturière travaillait jour et nuit sur la confection de la robe de Lucie. Peter lui offrit une magnifique bague ornée d'un énorme diamant, rien de comparable à celle que lui avait donné William.

    Le grand jour arriva et Lucie était très nerveuse. L'église était remplie de gens de sa famille et celle de Peter. Pendant qu'elle avançait dans l'allée, elle sentait la bague lui brûler le doigt, mais se retenait pour ne pas l'enlever. Devant elle se tenait son futur époux ainsi que l'officiant de cérémonie qui s'apprêtait à prononcer les paroles sacrées qui les uniraient à jamais;"...si quelqu'un à quelque empêchement contre cette union, qu'il parle maintenant...où qu'il se taise à jamais."

    A ce moment précis, les portes de l'église s'ouvrirent et un vent glacial remplit la salle. Tous les invités se retournèrent vers l'entrée. Les yeux de Lucie rencontrèrent ceux de William. Pendant qu'il remontait l'allée vers elle, elle remarqua la blessure à sa poitrine. Elle avait la forme d'une rose rouge sur son cœur. Ses yeux étaient rouges comme le feux et son visage pâle et sans vie.

    Tout le monde semblait figé dans cette tornade de vent glacial dont William était le centre. Lucie poussa un cri lorsque les mains squelettiques de William l'agrippèrent pour l'emporter hors de l'église.
    Quand les invités sortirent de l'église, il n'y avait aucun signe de Lucie, seulement le bruit des sabots d'un cheval galopant vers le cimetière.

    Les hommes sautèrent sur leur monture et se dirigèrent en direction du cimetière où William n'avait réussi à trouver le repos. Arrivés là-bas ils découvrirent avec effroi, Lucie morte, les mains agrippées à la pierre tombale et à l'annulaire gauche un petit anneau d'or tout simple...Celui que William avait passé au doigt de sa fiancée.


    FIN 








    Conte : Cendrillon !

    10/10/2007 20:30

    Conte : Cendrillon !


    Cendrillon

    Il était une fois, un homme, qui avait perdu sa femme et qui se remaria à une femme qui avait eu deux filles, méchantes comme elle. De son côté, l'homme avait une fille, belle et gentille.

    Sitôt remariée, la belle-mère révéla son vrai caractère :

    Rien n'était trop beau pour ses filles chéries. Tous leurs caprices étaient
    satisfaits. Et la fille du mari mangeait les restes dans la cuisine et dormait à la cave. Elle faisait le ménage, préparait les repas, servait ses demi-soeurs à table... sans jamais se plaindre. De toute façon, son père ne l'aurait pas écoutée.

    Le soir, les travaux enfin finis, elle allait s'asseoir près du feu, pour se
    réchauffer.

    - Regardez-la ! Elle est ridicule, les fesses dans la cendre. Si nous l'appelions... Cucendron. Cucendron, Cucendron... »

     

    Tout à côté de leur maison, se trouvait un château dans lequel habitait le fils du roi. Voisin, voisines... les deux soeurs furent, un jour, invitées au bal qu'il donnait. Elles étaient folles de joie :

    - Cucendron, mon collier de perles ! »

    La plus jeune des soeurs, moins méchante que l'aînée, se contentait de l'appeler :

    - Cendrillon. Cendrillon, mes souliers dorés.

    - Cucendron ? T'aurais aimé aller au bal ?

    -Moi... oh ! »

    Et pourtant, c'était bien elle la plus belle et la plus gracieuse de toutes les filles.

    - Ma chérie, pourquoi pleures-tu ?

    - Oh ! Ma fée marraine, c'est toi ?

    -Tu voudrais aller au bal ? C'est ça qui te fait pleurer ?

    - Oui.

    - Et bien, tu iras.

    Plus de Cucendron, ni même de Cendrillon, la fée venait de la transformer en princesse.

    - Va dans le jardin et rapporte-moi une citrouille.

    La citrouille devint un carrosse aux portes toutes dorées. La fée qui avait plus d'un tour dans son sac à magie, attrapa alors six petites souris qui devinrent les six plus beaux chevaux du monde.

    - Et pour le cocher... un rat devrait convenir.

    - Oh merci marraine.

    - Fais bien attention à l'heure... sois de retour au dernier coup de l'horloge sonnant minuit. Après, le charme sera rompu et tout reprendra sa première forme. »

    Au palais, la fête battait son plein :

    - Qui est cette belle ? Tu la connais, toi ? Oh, quelle grâce ? Eh vous avez vu comme elle marche ? C'est la fille d'un empereur !

    - Soyez la bienvenue dans mon château. Et lui prenant la main, le prince l'entraîna dans la farandole.

    Après la danse, le prince plaça sa cavalière à ses côtés pour lui présenter ses invités. Bien sûr, ses soeurs aussi lui firent la révérence mais sans la reconnaître. Quand minuit approcha, elle songea qu'il lui fallait être de retour à l'heure.

    - Noble prince, je dois m'en aller, maintenant.

    Et Cendrillon rentra à la maison où aux douze coups de minuit le carrosse redevint citrouille, les chevaux, souris, son manteau brodé d'or, guenilles habituelles.

    Quelques heures plus tard :

    - Cucendron, Cucendron ! Cendrillon ! Cucendron !

    - Bonsoir mes soeurs. Alors, vous êtes vous bien amusées ?

    Et elles, de lui raconter tout ce que Cendrillon savait déjà.

    - Il y avait une fille d'empereur, au moins, tellement elle était, elle était... Oui, idiote, pour être partie comme ça, si tôt !

    Et la vie reprit son cours normal. Jusqu'au jour où le prince organisa un nouveau bal, espérant bien y retrouver la belle inconnue dont il était tombé amoureux. Les soeurs mirent beaucoup plus de temps à essayer de se faire belles. Cendrillon les coiffa et les aida à passer leurs robes, à les retirer, à les repasser ....

    - Bonne soirée mes soeurs, amusez-vous bien ! »

    Et Cendrillon courut dans le jardin ramasser une citrouille, chercher des souris, un rat...

    - Fée, ma fée marraine !

    - Tu veux retourner au bal ?

    - Oui, et j'ai déjà tout ce qu'il faut.

    - Bien. Mais cette fois-ci, il faudrait rajouter des laquais qui dérouleront des tapis sous tes pas.

     

    Et c'est ainsi que des lézards qui se réchauffaient aux derniers rayons du soleil, se retrouvèrent, soudain, sur deux pattes habillés et chapeautés.

    L'arrivée de Cendrillon au palais fît encore plus d'effet que la première fois. Le prince en personne vint l'accueillir et l'aida à descendre de son carrosse tandis que les lézards, je veux dire les laquais, déroulaient les tapis sous leurs pieds.

    Cendrillon et son prince dansèrent, dansèrent et dansèrent !

    - Vous tremblez ? De quoi avez-vous peur ?

    - Excusez-moi. Je dois partir. Au-revoir.

    Et Cendrillon quitta la salle de bal, prit son manteau brodé d'or, se mit à courir, arriva dans la cour. Mais, dans sa précipitation, elle avait perdu une chaussure !

    - Garde, as-tu vu une princesse passer ?

    - Non, je n'ai vu qu'une pauvrette et j'ai trouvé ça... »

    Ça désignait la citrouille, les souris, le rat et les lézards... Le prince ramassa, que dis-je, recueilli, la chaussure perdue.

    - Toutes les dames du royaume sont invitées à essayer un escarpin. Le prince épousera celle dont le pied le chaussera.

    - Moi, moi, moi. C'est à mon tour d'essayer. Je veux l'essayer moi, d'abord ! »

    Mais, aucun pied ne rentrait. Même en forçant avec un chausse-pied, rien n'y faisait, soit les orteils dépassaient, soit le talon écrasait tout ! Des centaines, des milliers de femmes l'essayèrent. Tant et si bien que vint le tour de Cendrillon. Son pied glissa sans peine à l'intérieur. Et pour mieux convaincre le prince que c'était bien elle l'inconnue qu'il recherchait, elle mit, à son autre pied, le deuxième escarpin qu'elle avait gardée.

    -  C'est vous ?

    - Quoi c'est elle ! Cucendron, Cendrillon ! »

    Cendrillon pardonna à ses deux affreuses soeurs, les maria même avec les deux plus grands seigneurs du royaume et vécut enfin heureuse avec son prince, dont elle eut beaucoup d'enfants.

    FIN








    Conte : Est-ce une maison hantée ?

    10/10/2007 20:33

    Conte : Est-ce une maison hantée  ?


    Est-ce une maison hantée ?

    Jimmy connaît bien son quartier, il n'y a qu'un endroit où il n'est jamais allé, la maison du vieux fermier, disparu mystérieusement il y a cinq ans. Ce vieil homme n'avait apparemment pas de famille, car sa demeure resta à l'abandon depuis son décès, les gens du village raconte que cette vieille demeure serait hantée par des esprits malfaisants.

    Mais ce soir Jimmy est bien résolu à découvrir la vérité, c'est d'un pas décidé qu'il franchit le portail grinçant dont le métal est complètement rouillé par le temps, puis longe le chemin qui mène à la vieille bâtisse. La nature a reprit ses droits, les ronces ont recouverts les dalles du sentier et le jardin est un méli-mélo de fleurs et d'herbes en tous genres.

    Quand à la vieille demeure, elle est peu accueillante, sombre, volets clos, toiles d'araignées à l'entrée. Jimmy s'avance lentement sur le perron pour saisir la poignée de porte quand brusquement la porte s'ouvrit toute seule en grinçant. Il sursauta, fit un pas en arrière et aperçu une faible lueur qui provenait de l'une des pièces de la maison.

    Jimmy entre sur la pointe des pieds dans la maison et se dirige vers cette lueur qui l'intrigue. Mais soudain, Vlan ! La porte se referme aussitôt derrière lui, la peur l'envahit, et pour se rassurer il se dit que c'est sûrement un courant d'air. Il poursuit sa recherche et remarque que la lueur est causée par les flammes d'un feu de cheminée.

    Devant lui, un grand foyer tout en pierres et un grand chauderon qui bouillonne au dessus du feu. De l'autre côté au fond de la pièce, il y a une autre porte, Jimmy l'ouvre délicatement, voit des marches et les descend puis s'enfonce dans un long couloir qui paraît interminable. A plusieurs reprises des toiles d'araignées viennent se déchirer en lui frôlant le visage, les minutes s'écoulent, il hésite à continuer se demande si il ne doit pas rebrousser chemin.

    Quand enfin il se rend compte que le chemin s'élargit et qu'une lumière l'attend au bout du couloir, il voit en face de lui, des yeux dans le noir. Ces yeux le fixent, il y en a quatre en tout. Jimmy est figé, pétrifié par ces regards, il a si peur qu'il ne peu plus bouger. Les yeux s'approchent tout près de lui...

    Il sent aussi quelque chose lui frôler les jambes et reconnait des bruits de ronronnements, soulagé de constater que ces yeux appartiennent à deux chats, il caressa le premier qui se frottait contre lui et s'approcha du second qui était resté couché sur une meule de foin. Ses émotions passées et le calme retrouvé, il aperçoit un vieux tracteur.

    - Je dois être dans la grange se dit-il.

    Au même instant, une personne pénètre dans la ferme. C'est une vieille femme, elle referme la porte derrière elle et allume la lumière.

    - Que fais-tu là ? crie-t-elle à Jimmy.

    Jimmy tente de lui expliquer les vrais raisons de son intrusion, mais en vain il n'y arrive pas, il bredouille, puis s'excuse simplement d'être entré chez elle sans permission. Elle lui dit de ne plus jamais entrer chez elle comme un voleur tout en déposant une écuelle de lait pour ses chats.

    Cette vieille femme n'est autre que la veuve de son défunt mari mort il y a cinq ans, elle vit toute seule, recluse et n'est pas habituée à cotoyer les gens du village. Elle aussi a été effrayée par la présence de Jimmy, elle lui indique par où il doit passer pour retourner à la vieille grille toute rouillée de la propriété.

    Jimmy repart en promettant de ne plus jamais s'introduire dans une maison sans y être invité auparavant.

    FIN








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