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VIP-Blog de happy-halloween
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  • Créé le : 08/10/2007 00:27
    Modifié : 14/12/2023 03:49

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    Légendes : Le beau danseur

    02/04/2008 04:09

    Légendes : Le beau danseur


    Le beau danseur

    Lorsque le diable s'arrête à votre porte

     
    La croyance populaire qui voulait que le diable pouvait prendre possession d'une jeune fille coquette est très fréquente. L'une des premières transcriptions écrite de cette légende se trouve dans un ouvrage de Philippe-Aubert de Gaspé, Le Chercheur de trésors, paru en 1878 sous le titre L'Étranger.

    De nombreuses variantes existent et circulent dans toutes les régions du Québec. Ici, l'événement se déroule pendant une veillée de mardi gras comme il y en avait beaucoup dans les villages et campagnes du début du siècle.

    Il y avait autrefois un nommé Latulipe qui avait une fille appelée Rose dont il était fou. Elle était la plus jolie des jeunes filles ; sa peau était douce, ses joues roses, sa chevelure brune bouclée, ses gestes gracieux. Son père l'adorait et lui passait tous ses caprices.

    La jolie Rose avait un fiancé qui se nommait Gabriel. Elle aimait bien son amoureux mais ce que Rose aimait encore plus c'étaient les divertissements. Elle cherchait toujours prétexte, une fête ou un événement quelconque, pour demander à son père de convier des musiciens et des jeunesses chez eux pour une veillée.

    Quelques jours avant le mardi gras, elle se mit à tourmenter son père :

    - Feriez-vous venir le violoneux du rang voisin, père ? On dit qu'il joue à merveille. On ferait un petit bal pour le mardi gras ! Dites oui ! Oh ! dites oui, suppliait Rose.

    Le père Latulipe se laissa tourmenter un jour, deux jours et à la fin, de guerre lasse, il consentit.

    - Mais ma fille, dit-il, il faudra faire attention. Je ne veux pas qu'on danse après minuit ! Le carême commence le lendemain et il faut faire pénitence.

    Rose, folle de joie, embrassa son père et promit de respecter la tradition. Elle passa le reste de la semaine à préparer sa toilette, à décorer la salle. Enfin le mardi gras arriva.

    Dans la compagne, les nouvelles vont vite. Quand on sut qu'il y avait bal chez Latulipe, ce ne fut pas un seul violoneux qui se présenta. Il en vint trois et des meilleurs !

    Si bien que la fête fut magnifique. On riait, on dansait avec tant d'ardeur et de plaisir que le plancher en craquait. Au dehors, une tempête de neige s'était déclarée mais personne n'y faisait attention. Le bruit des rafales de vent était entièrement couvert par le son des violons qui entraînaient les danseurs dans des cotillons et des rigodons étourdissants.

    Rose était gaie comme un pinson : elle ne manquait pas une danse, acceptant toutes les invitations. Son fiancé Gabriel se sentait un peu délaissé mais, voyant sa Rose si heureuse et si enjouée, il prit son mal en patience en songeant qu'ils seraient bientôt unis pour la vie.

    Tout à coup, au milieu d'un rigodon, on entendit une voiture s'arrêter devant la porte. Plusieurs personnes coururent aux fenêtres pour tenter de distinguer le nouveau venu à travers la neige collée aux carreaux.

    Ils virent d'abord un magnifique cheval noir et puis un grand gaillard tout couvert de neige et de frimas qui s'avança sur le seuil. On s'arrêta de parler et de chanter et l'inconnu entra. Il secoua la neige de ses bottes et de son manteau, et l'on remarqua l'élégance de son costume de fin velours tout noir.

    - Puis-je m'arrêter dans votre maison quelques instants ? demanda-t-il.

    Le maître de maison, le père Latulipe, s'avança vers lui et dit :

    - Dégreyez-vous, monsieur, et venez vous divertir. Ce n'est pas un temps pour voyager !

    L'étranger enleva son manteau mais refusa de se débarrasser de son chapeau et de ses gants.

    - Une coutume de seigneur, chuchotèrent les curieux regroupés autour de lui.

    Tout le monde était impressionné par l'arrivée de ce nouveau venu. Les garçons étaient pleins d'admiration pour le cheval noir qui était attaché au poteau de la galerie. Ils lui trouvaient le poil brillant et l'allure altière des pur-sang mais ils s'étonnaient de constater que là où ses sabots étaient posés, la neige avait fondu complètement.

    « Drôle de bête », pensaient-ils. Les demoiselles, elles, examinaient en rougissant le bel homme élégant. Chacune d'elles, dans le secret de son cœur, espérait que ce survenant allait l'inviter à danser. Mais c'est vers Rose qu'il alla.

    - Mademoiselle, lui dit-il en la fixant de ses yeux de braise, voulez-vous danser avec moi ?

    Il va sans dire que Rose ne se fit pas prier, sentant peser sur elle le regard de toutes ses compagnes qui l'enviaient. L'inconnu entraîna aussitôt la jeune fille dans un quadrille, puis lui en fit danser un autre ; les violoneux ne s'arrêtaient pas et l'on enchaîna avec des reels et des cotillons.

    Rose ne pouvait plus s'arrêter de danser : comme si elle ne pouvait plus se détacher des bras de son partenaire. Tous les invités les regardaient évoluer ensemble en louant leur élégance. Comblée de bonheur, Rose oublia totalement Gabriel qui s'était retiré dans un coin, mal à l'aise.

    - Voyons donc, Gabriel ! lui lança Amédée, un jovial paysan, en lui tendant un gobelet plein de caribou. Prends pas cet air d'enterrement ! Sois gai, bois et profite de ta jeunesse !

    Mais Gabriel eut beau boire plus que sa soif le lui commandait, son cœur était douloureux. Et Rose, sa belle Rose, les joues en feu, continuait de tourner avec le beau jeune homme.

    Soudain, on entendit sonner le premier coup de minuit. Le père Latulipe regarda l'horloge. Les danseurs s'arrêtèrent et les violons se turent.

    - Il est minuit, fit l'hôte. Le mercredi des Cendres est arrivé. Alors, je vous demande de vous retirer.

    Rose vint pour se dégager mais son compagnon serra ses deux mains dans les siennes.

    - Dansons encore, lui murmura-t-il.

    Rose ne voyait plus les gens autour d'elle, qui retenaient leur souffle. Ni sa mère, ni son père, ni Gabriel... Rose était envoûtée par la voix et le regard de son compagnon et voilà que sans l'aide de la musique, les deux danseurs reprirent les pas du cotillon et se remirent à danser, danser, danser... Les autres restaient figés. Personne ne bougeait. L'hôte hésitait à intervenir. Puis, le tourbillon ralentit. L'étranger saisit un gobelet plein sur la table, le leva en criant :

    - A la santé de Lucifer !

    Ses yeux lançaient des éclairs, une flamme bleue jaillit de son verre, faisant reculer les invités effrayés. Mais il ne lâchait pas Rose, qu'il tenait fermement. Puis, se penchant vers elle, il déposa sur sa bouche un baiser brûlant.

    Au même instant, le tonnerre éclata au-dessus du toit : dans un brouhaha de cris et de hurlements, la maison prit feu. Dans la confusion qui suivit, on ne vit pas l'homme en noir lâcher la main de Rose et s'enfuir dans la nuit sur son cheval.

    Au petit matin, il ne restait que des cendres de la maison des Latulipe. Et Rose, réfugiée chez les voisins, était vieillie de cinquante ans. Ses cheveux bruns avaient la couleur de la cendre. Ses joues roses et rebondies la veille étaient pâles et toutes ridées. Et sur ses lèvres on voyait la trace d'une brûlure toute fraîche. C'était la trace du baiser qu'elle avait reçu du diable !

    FIN






    La légende du Bonhomme Sept heures

    21/04/2008 01:45

    La légende du Bonhomme Sept heures


    Le Bonhomme Sept heures

    Les enfants feraient bien d'écouter leurs parents...

    Tous les Québecois connaissaisent l'histoire du bonhomme sept heures. Il existe plusieurs différentes versions de ce conte. Pour certains, le bonhomme sept heures est un ogre, pour d'autre, un homme avec des pouvoirs monstrueux. Dans tous les cas cependant, il cherche à kidnapper les enfants qui ne sont pas au lit à 7 heures (19h00).

    Lorsqu'il repère un enfant désobéissant, il rôde autour de la maison pendant un moment, cherchant l'entrée la plus sûre pour le pas éveiller les soupçons des parents. Il se rend ensuite où se trouve l'enfant et l'emporte avec lui en le mettant dans sa grosse poche. L'enfant serait emporter très loin, dans le repaire du monstre où il sera plus tard dévoré.

    Origine de cette légende

    Le bonhomme sept heures est la version québecoise du "Boogie man" américain.

    Véritablement, l'expression du bonhomme sept heures vient d'une déformation des mots anglais "bone setter". Cette expression signifie un "ramancheur". Le terme étant moins populaire qu'il l'était autrefois, un ramacheur est un médecin (généralement non-qualifié) qui replace les articulations et qui aide à guérir les fractures diverses, les maux de dos... Mais généralement, il replaçais les articulations à leurs places. Les séances étant souvent très douloureuse, ils avaient donc la même réputation que celle qu'on attache souvent au dentistes.

    Tout porte à croire que les parents menaçaient d'envoyer leurs enfants voir le "bone setter" si ils n'étaient pas sage. Eux qui, dans la plupart des cas, avait vu leur pauvre père ce faire torturer par cette inconnu, prenaient donc peur et restaient obéissants. Lentement, grâce à la déformation lingustique du mot, le bonhomme sept heures remplaça le "bone setter" qui deviendra donc un personnage mythique de la culture populaire Québecoise.






    La légende du Capitaine Craig

    16/06/2008 01:35

    La légende du Capitaine Craig


    Le Capitaine Craig

    Au début du siècle dernier, de grands vaisseaux arrivaient de ports lointains et inconnus et pénétraient dans la Baie des Chaleurs jusqu’aux estuaires les plus éloignés. Ils s’y arrêtèrent. Lorsque ces vaisseaux approchaient des côtes, ils amenaient leurs voiles et hissaient un pavillon qui signifiait qu’ils avaient besoin d’un pilote expérimenté pour les aider à s’approcher du littoral. A cette époque, il n’y avait pas de phares, ne de bouées, aucune aide à la navigation et surtout, pas de quai. Une fois le navire solidement ancré en lieu sûr, ils partaient à la recherche de fourrures.

    Ces maraudeurs marins visaient particulièrement les villages indiens, parce qu’ils savaient que les habitants étaient vulnérables, faciles à exploiter. Les Indiens échangeaient leurs précieuses pelleteries contre des nouveautés et des articles sans valeur. Par la suite, les brigands leur donnaient de l’alcool et volaient toutes leurs fourrures.

    Parmi ces pirates, le tristement célèbre Capitaine Craig était certainement le plus connu. Il parlait assez couramment le dialecte local, puisqu’il visitait les autochtones une fois par année.

    Par un beau matin tranquille, on aperçut le vaisseau du Capitaine Craig sur les eaux de la Baie. En se rapprochant du littoral, le capitaine hissa son pavillon pour faire venir le pilote. Celui-ci embarqua dans un petit bateau pour traverser jusqu’au navire qu’il guida par la suite vers l’endroit choisi par le capitaine, un village indien. Son travail terminé, le pilote rentra chez lui pour attendre le signal du départ.

    Vers la fin de l’après-midi, l’équipage ayant accompli leurs devoirs à terre, le navire envoya le signal au pilote qui se chargerait de guider le navire à travers la zone dangereuse jusqu’à la mer. A peine avaient-ils levé l’ancre que le pilote entendit des cris et des gémissements. Il donna l’ordre au Capitaine Craig d’amener immédiatement ses voiles et jeter l’ancre. Au début, le capitaine et son premier lieutenant refusèrent d’obéir, mais lorsque l’énorme pilote menaça de les lancer à l’eau, ils firent ce qu’il leur avait demandé. Et quelle surprise ! Le pilot découvrit deux jeunes Indiennes, ligotées et cachées sous un tas de pelletries. Les pirates avaient kidnappé les jeunes filles pendant que leurs parents étaient saouls. Le capitaine et son premier lieutenant avaient prévu violer les deux filles et les jeter à la mer après. C’est ce qu’ils faisaient, ou essayaient de faire, chaque fois qu’ils visitaient le village.

    Après avoir libéré les deux jeunes filles, le pilote les ramena à terre pour qu’elles puissent retourner à leur tribu. Elles ne savaient pas trop comment le remercier de les avoir sauvées d’un sort épouvantable. Elles l’avertirent qu’il ne devait pas retourner au navire, puisqu’un grand malheur allait se produire. Malheureusement, il ne suivit pas leurs conseils.

    Malgré tout, on finit par lever l’ancre et hisser les voiles. À peine dix minutes plus tard, un grand remous se produisit, fracassant le grand navire sur les roches. Tous les membres de l’équipage, sauf le capitaine et son premier lieutenant, moururent sur le coup. Quant au pilote, qui nageait comme un poisson, il réussit à regagner la côte qu’il avait quittée à peine quelques minutes auparavant.

    Le capitaine et son premier officier se noyèrent avant d’atteindre la terre ferme. On essaya en vain de les ressusciter. Les deux jeunes Indiennes étaient toujours là, tremblant de peur. Elles avaient vu le naufrage et priaient Dieu de secourir leur sauveteur. Lorsque le pilote eut repris ses forces, on lui prêta un bateau pour qu’il puisse rentrer chez lui.

    Ce même soir, alors que le temps était toujours calme sous un ciel orageux, on vit glisser une énorme lumière rouge sur la surface de la baie. C’était une boule de feu qui prit la forme du navire du Capitaine Craig. On y aperçut même les membres de l’équipage qui amenaient les voiles, jetaient l’ancre et hissaient le pavillon pour appeler le pilote. Et ce n’était pas la seule fois qu’on aperçut le navire dans une boule de feu.

    Pour voir l’apparition, le temps doit être exactement comme la journée du naufrage. Plusieurs habitants de la région de Bathurst affirment avoir vu plusieurs fois cette apparition légendaire. Quelques-uns disent avoir vu le navire en plein jour qui se dirigeait vers la terre, qui arrêtait à une centaine de pieds seulement de la rive, et qui disparaissait ensuite comme par magie.

    Théories 

    Des dizaines de milliers d’observateurs affirment avoir observé ce phénomène, des scientifiques essaient depuis un demi-siècle de d’en découvrir le secret, quelques pêcheurs audacieux ont essayé de le rejoindre avec leurs goélettes, mais le «navire de feu» qui navigue sur les eaux de la Baie des Chaleurs entre la côte nord du Nouveau-Brunswick et la Gaspésie demeure toujours enveloppé de mystère.

    Bien que ce phénomène ait été observé par plus de personnes que toute autre apparition inexpliquée au Canada, il reste aussi insaisissable que le bout de l’arc-en-ciel. Ceux qui ont osé le poursuivre disent qu’il garde toujours la même distance, et ceux qui l’ont observé en utilisant un télescope affirment que le grossissement ne révèle aucun détail imperceptible à l’œil nu.

    La plupart des observateurs voient un bateau en flammes. Le navire de feu est le roi indiscutable de la flotte des ténèbres, se distinguant autant des autres navires fantômes qu’un paquebot d’un minable tramp. Il parcourt les rivages du nord du Nouveau-Brunswick sur une distance de cent-vingt-cinq milles, entre la ville papetière prospère de Dalhousie, près de l’estuaire de la rivière Restigouche au bout de la Baie des Chaleurs, jusqu’à Bathurst et l’Île Miscou, où la Baie rejoint le Golfe du St-Laurent.

    Il peut demeurer stationnaire pendant des heures et disparaître peu à peu ou il peut émettre une lueur brillante et disparaître tout d’un coup; il peut frôler les vagues à la vitesse du vent. Certains déclarent avoir vu le navire de feu en plein jour, mais en général, l’évidence laisse croire qu’il se montre seulement la nuit.

    Les pêcheurs en discutent très volontiers, certains croyant qu’il s’agit d’un phénomène naturel, d’autres affirmant qu’il s’agit d’une manifestation surnaturelle. Quelques-uns vont jusqu’à traiter d’ignorants les tenants de la thèse fantôme. Par contre, des centaines d’hommes et de femmes bien respectés dans leur milieu jurent qu’ils ont vu un navire en flammes dont l’existence n’a aucune explication scientifique.

    En fait, il y a quelques années, par une journée très chaude du mois de juillet, il y avait une brume de chaleur au-dessus de la mer devant la plage Youghall. La foule était nombreuse sur la plage, alors il y avait beaucoup de témoins oculaires lorsque  tout d’un coup  le Vaisseau fantôme fit son apparition. En regardant le long de la côte, on aurait dit que le navire se trouvait au large de Belledune, à deux milles environ de la plage.

    La nouvelle circulait très rapidement sur la plage. On a eu le temps d’aller chercher des jumelles et de les passer aux autres, puisqu’on a pu l’observer pendant plus d’une demi-heure. Certains de nos enfants l’ont vu. Tout le monde s’enthousiasmait, tout le monde parlait, tout le monde avait les yeux rivés sur le bateau. C’était une apparition merveilleuse et incroyable.

    Il y a des scientifiques qui expliquent qu’il s’agit de feu St-Elme – une décharge électrique lumineuse plus ou moins continu de l’atmosphère vers la terre, mais le feu St-Elme se manifeste normalement à l’extrémité d’un objet pointu tel qu’un clocher d’église ou le mât d’un bateau. De plus, le feu s’accompagne normalement d’un bruit de craquement. L’apparition de la Baie des Chaleurs, selon les dissidents, n’a rien à voir avec des objets pointus, ne se montre qu’au-dessus d’une grande étendue d’eau et ne fait aucun bruit.

    Une autre théorie voudrait que le navire de feu ne serait qu’une boule de gaz inflammable possiblement émise d’une faille sous-marine qui serait également responsable de la distribution de boules de houille bitumineuse sur nos plages blanches.

    Une troisième possibilité, c’est que l’illusion du navire de feu serait créée par une forme de vie marine phosphorescente. Cette idée fait rigoler les biologistes, puisqu’on a déjà vu le navire de feu en plein hiver quand la Baie des Chaleurs était recouverte de glace.

    A l’ouest de Caraquet, au fond de la Baie des Chaleurs et à Campbellton, on associe généralement le navire de feu au Marquis de Malauze, une frégate de la marine française poursuivie jusqu’à la Rivière Restigouche et coulée par les Anglais en 1760. Cette version de l’histoire serait plus vraisemblable si ce qui reste du Marquis ne reposait pas si tranquillement dans le jardin du monastère sur la réserve indienne à Pointe-à-la-Croix, au Québec.

    Et, en fin de compte, il y a le vaisseau fantôme du Capitaine Craig, l’explication la plus spectaculaire de toutes !






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